tag:blogger.com,1999:blog-61679776069977429872024-02-20T19:11:26.982+01:00Charles Robinsonromancier aux aguetsCharles Robinsonhttp://www.blogger.com/profile/10280284901423750777noreply@blogger.comBlogger125125tag:blogger.com,1999:blog-6167977606997742987.post-29315881472834846492023-02-09T18:50:00.002+01:002023-02-09T18:50:44.180+01:00J'accepte -- publication<p> </p><div class="separator" style="clear: both; text-align: center;"><a href="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEgKoCuG8N0K2sjP0U7F0P2qdu2qkLMCpqi13eHMoLhsKVaRVhEuXHr0BCe8Hy-M0WiTitw9Xsagoqv8xtSoMQegsJ3qqTeOBhf9NaaI916XxM5710E28lt0jpyYsYDh5WMQ341ce73qQxFBqnIKHJnQqRlgrKvnN0_c8ISvqdGzk3_K9DQxgi-zR3Wv/s2480/J'accepte-200722.jpg" style="margin-left: 1em; margin-right: 1em;"><img border="0" data-original-height="2480" data-original-width="1535" height="640" src="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEgKoCuG8N0K2sjP0U7F0P2qdu2qkLMCpqi13eHMoLhsKVaRVhEuXHr0BCe8Hy-M0WiTitw9Xsagoqv8xtSoMQegsJ3qqTeOBhf9NaaI916XxM5710E28lt0jpyYsYDh5WMQ341ce73qQxFBqnIKHJnQqRlgrKvnN0_c8ISvqdGzk3_K9DQxgi-zR3Wv/w397-h640/J'accepte-200722.jpg" width="397" /></a></div><p></p><p style="text-align: right;"> </p><p style="text-align: right;">parution : février 2023 <br /></p><p></p><p> </p><p>Nous devrions être assistés par le numérique, mais nous sommes altérés, intoxiqués, dévorés. Derrière l’écran lisse de nos machines rôde une hallucination. Cela donne envie d’explorer le cloud et les langages binaires, de rencontrer les boss déments, les petites mains, les paumés, les oracles. Leur bruissement continu accuse notre solitude. Dans la guerre entre l’homme et la machine, où trouver le réel ?</p><p> </p><p></p><blockquote>"— Au départ, les amis, il y avait des fruits et des feuilles. Il fallait tendre le bras. C’était fatigant. Les branches grimpaient pour nous humilier, nous montrer qui était la Nature.<br />Les branches n’étaient pas bienveillantes.<br />Alors le marchand est sorti du temple. Avec les vendeurs, ils se sont pris les mains. Ils ont prié ensemble. Ils ont dansé. Ils ont pleuré et chanté toute la nuit. Puis le marchand a décroché des fruits. Il en a jeté une poignée dans un trou. Il a posé une feuille sur le trou. Il venait d’inventer le couvercle. Le packaging ! La boîte merveilleuse.<br />Les fruits, il y en a partout : aucun intérêt. Mais avec un couvercle : les autres fruits deviennent nuls.<br />Think different."</blockquote><p><br /><i>J'accepte</i>, pièce pour deux comédiennes, deux comédiens, et toutes sortes d'instruments numériques.<br /></p><p>Imaginée avec le <a href="https://www.groupemerci.com/" target="_blank">Groupe Merci</a></p><p>créée au <a href="https://www.theatreachatillon.com/lagenda/jaccepte" target="_blank">théâtre de Châtillon</a> en mars 2022<br />reprise au <a href="https://www.theatregaronne.com/spectacle/2022-2023/j-accepte" target="_blank">théâtre Garonne</a>, Toulouse, en septembre 2022<br />Puis à <a href="http://www.circa.auch.fr/fr/spectacle-saison?idspec=248" target="_blank">CIRCa</a>, en janvier 2023</p><p> </p><p>Merci au Groupe Merci, à Sabine Chevalier et aux éditions Espaces 34</p><br /><br />Charles Robinsonhttp://www.blogger.com/profile/01309029492158401900noreply@blogger.comtag:blogger.com,1999:blog-6167977606997742987.post-60336828982939251792022-09-19T11:56:00.000+02:002022-09-19T11:56:21.999+02:00J'accepte -- théâtre -- Toulouse<p> </p><div class="separator" style="clear: both; text-align: center;"><iframe allowfullscreen="" class="BLOG_video_class" height="315" src="https://www.youtube.com/embed/sVtWumyYEEo" width="560" youtube-src-id="sVtWumyYEEo"></iframe></div><br /><p></p><p>Les amis, laissez-moi vous raconter la plus belle fable de l’univers. Au départ, il y avait des fruits et des feuilles. C’était chiant. Il fallait tendre le bras. C’était vraiment fatigant. Les branches grimpaient pour nous humilier et nous montrer qui était la Nature. </p><p>Alors le marchand est sorti du temple installé sur la grand-route, et il a posé des petites machines hyper pratiques, des gadgets ingénieux, des services adaptés à ma life pour pimenter, simplifier la vie ou l’augmenter.<br />Nous avions découvert l’appareillage.<br />Quel étrange bonheur.<br /><br />J’ACCEPTE est une chasse au secret enfoui, au deep blue qui gît dans les services et les serveurs, une chasse aux indices, aux mots-clés, aux identifiants qui l’un après l’autre enfoncent notre défiance et obtiennent notre consentement.<br /><br />J’accepte l’obscurité du monde.<br />J’accepte d’avoir peur et j’accepte la médication.<br />J’accepte d’être augmenté.<br />J’accepte d’être diminué.<br />J’accepte d’être vidé. <br />J'accepte.</p><p style="text-align: center;"><br />----<br /></p><p><b>création</b> Groupe Merci<br /><b>avec l’auteur</b> Charles Robinson, Objet nocturne n°29<br /><b>écriture, processus de refroidissement des hypothèses</b> Charles Robinson<br /><b>mise en scène, scénographie, mise en irruption</b> Joël Fesel<br /><b>création vidéo</b> Xano Martinez<br /><b>création lumière, pare-feu</b> Raphaël Sevet<br /><b>création musicale, bruitiste</b> Boris Billier<br /><b>construction</b> Hadrien Albouy, Stéphane Chipeaux-Dardé<br /><b>production, diffusion (devance même nos désirs)</b> Céline Maufra<br /><b>irruption (comédien·ne·s)</b> Catherine Beilin, Georges Campagnac, Marc Ravayrol, Louise Tardif<br /><b>remerciements</b> Marie-Laure Hée et le laboratoire In Cookies Project</p><p> </p><p><b>pratique</b> au<a href="https://www.theatregaronne.com/spectacle/2022-2023/j-accepte" target="_blank"> théâtre Garonne, Toulouse</a><br />avec le théâtre Sorano<br /><a href="https://www.theatregaronne.com/spectacle/2022-2023/j-accepte" target="_blank">du 21 septembre au 1er octobre 2022</a><br /></p><p><br /></p>Charles Robinsonhttp://www.blogger.com/profile/10280284901423750777noreply@blogger.comtag:blogger.com,1999:blog-6167977606997742987.post-27887178943918903122022-03-30T10:42:00.004+02:002022-03-30T10:42:32.286+02:00No More Spleen | performance<h2 style="text-align: center;">No More Spleen</h2><h2 style="text-align: center;">.. <br /></h2><p></p><div class="separator" style="clear: both; text-align: center;"><a href="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEg-zhFXd2eb5RFcvHkQfRO_HvAOOpvnVttH7My4jEqrMVXWxHH1Y2ZhQ1UFQ9OYGeS7QPeHeRUbXk_zeFPcsGPtL4JpzjVYUGKH6Q3cFWwP0j_q3rCKOf79-DJBILSvXImCmadVxopRWhM-3WuLwGa-P10KTBEW8GRaqRD20H5_jYSv-TTpLdP-F-eM/s2000/Traveler-blue_IMG_3367.jpg" imageanchor="1" style="margin-left: 1em; margin-right: 1em;"><img border="0" data-original-height="1332" data-original-width="2000" height="426" src="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEg-zhFXd2eb5RFcvHkQfRO_HvAOOpvnVttH7My4jEqrMVXWxHH1Y2ZhQ1UFQ9OYGeS7QPeHeRUbXk_zeFPcsGPtL4JpzjVYUGKH6Q3cFWwP0j_q3rCKOf79-DJBILSvXImCmadVxopRWhM-3WuLwGa-P10KTBEW8GRaqRD20H5_jYSv-TTpLdP-F-eM/w640-h426/Traveler-blue_IMG_3367.jpg" width="640" /></a></div> <p></p><h4 style="text-align: center;">performance chorégraphique</h4><h4 style="text-align: center;">Frank Micheletti & Charles Robinson</h4><p style="text-align: center;"><b>samedi 16 avril | Paris | théâtre de l'Étoile du Nord</b></p><p style="text-align: left;"><br />Oublie tes histoires de bâtons, de lances et d’épées, de choses longues et dures qui cognent, piquent et frappent. <br /><br />Oublie cette vénéneuse histoire qui t’a scratché tout tordu dans un mur. <br /><br />Assieds-toi, prends une feuille, une gourde, un filet à provisions et prépare tes réserves pour passer un hiver peinard. <br /><br />Moins de forces déployées, plus de ruses envisagées. <br /><br />Va ramasser de l’avoine sauvage et du maïs, prépare-toi des infusions, cale-toi dans un bon fauteuil. <br /><br />Ou alors, développe une relation harmonieuse à ton corps, rectifie tes postures, renforce tes abdominaux et tes fessiers, et va te faire de nouvelles copines à la salle de gym. <br /><br />Si l’on regarde les choses depuis ce point de vue, il y a une marge de progression. Il n’est jamais trop tard. Future is cool.<br /></p><p style="text-align: left;"><br /><br /><span style="font-family: courier;">En 2017, Frank Micheletti et Charles Robinson imaginaient <i>The Spleen</i>, une grande enquête pop à travers nos intoxications : technologiques, politiques, organiques. L’enquête prenait la forme survoltée d’une succession de tableaux colorés, passant d’un western à une épopée spatiale, un documentaire anatomique, un thriller, etc. <br /><br /> Avec presque quarante dates au compteur, le duo a affiné son écriture collective, sa complicité et son amitié. <br /><br />Dans <i>No More Spleen</i>, les deux artistes développent leur univers et leur écriture, continuent à enquêter sur un certain état du monde et sur nos si nombreuses façons de nous rendre patraques, défaillants ou cinglés, tout en nous ménageant des échappées, des sursauts, des ruses imparables.</span><br /></p><p style="text-align: left;"><br /><br /><b>DISTRIBUTION</b><br />Conception, écriture, danse et musique : Frank Micheletti et Charles Robinson<br /><br /><b>PRODUCTION</b><br />Kubilai Khan Investigations<br /><br /><b>COPRODUCTION</b><br />Concordan(s)e<br /><br /><b>ACCUEIL STUDIO</b><br />Le Silo (91)<br />Évreux <br /></p><p style="text-align: center;"><a href="https://etoiledunord-theatre.com/saison/frank-micheletti-charles-robinson-no-more-spleen" target="_blank"><b>réserver sur le site du théâtre</b></a><br /></p>Charles Robinsonhttp://www.blogger.com/profile/10280284901423750777noreply@blogger.comtag:blogger.com,1999:blog-6167977606997742987.post-36154397224588234932022-03-07T23:35:00.006+01:002022-03-08T11:30:03.574+01:00J'accepte | théâtre<h2 style="text-align: center;"><div class="separator" style="clear: both; text-align: center;"><a href="https://blogger.googleusercontent.com/img/a/AVvXsEjsOofUnZxErgze4_ZDTFcLW2IZszwnYawubA41bTlMMNcOOiksHDuGxXw_cNCL7n50m0Zx_fa5TZy-R2v-yLM4nQn4-q_V5Qcq-cUyhjb1Y14aiTV_lkNAQVHaTa6miWBjc6HDd_ojI6jOoBFpgZ_NNUPH9Tw1ETSf7LN369kH0Dh_SWddTXKpkCMF=s720" style="margin-left: 1em; margin-right: 1em;"><img border="0" data-original-height="720" data-original-width="514" src="https://blogger.googleusercontent.com/img/a/AVvXsEjsOofUnZxErgze4_ZDTFcLW2IZszwnYawubA41bTlMMNcOOiksHDuGxXw_cNCL7n50m0Zx_fa5TZy-R2v-yLM4nQn4-q_V5Qcq-cUyhjb1Y14aiTV_lkNAQVHaTa6miWBjc6HDd_ojI6jOoBFpgZ_NNUPH9Tw1ETSf7LN369kH0Dh_SWddTXKpkCMF=s16000" /></a></div> </h2><h2 style="text-align: center;">création au théâtre de Châtillon</h2><p style="text-align: center;">Groupe Merci | Charles Robinson <br /></p><p style="text-align: center;">du 10 au 12 mars 2022</p><p style="text-align: center;"><br /><a href="https://www.theatreachatillon.com/lagenda/jaccepte" target="_blank">réservation sur le site du théâtre</a><br /></p><p> </p><p></p><p>Dans une hypothèse enchantée, nous quitterions, de temps en temps, nos existences, pour nous projeter dans d’autres : des univers étranges, joueurs, repeuplés de nouvelles figures : des univers numériques.<br />Nos vies auraient ainsi accès, à volonté, à des extensions troubles.<br />Revenus à nos bons vieux réels, les pieds sur le bitume, dans nos cuisines, nous garderions dans les cœurs une sorte de petite clandestinité pour ces vies virtuelles qui auraient été les nôtres.<br />Hé bien, ce n’est pas du tout comme ça que ça s’est passé.<br />Ces vies virtuelles sont descendues en nous. Absolument. Elles ont infusé dans nos appartements, nos cuisines, converti nos existences, déboussolé nos terres.<br />À présent, nous sommes réellement altérés. Des virtuels nous bipent, nous sermonnent, nous conseillent, nous rappellent à l’ordre, nous enjoignent, nous scrutent, nous évaluent, nous boostent.<br />Nous sommes débordés par tout ce qui piapiate, tout ce qui annonce, tout ce qui commente, tout ce qui décompte. Nos pas dans la rue, nos pulsations cardiaques, nos agios, nos liens, nos consommations, les jours qui nous restent.<br />Si l’on en croit la sarabande infinie des chiffres, c’est nous qui avons été numérisés : computés.<br />Nos secrets, nos pensées, nos séductions, nos péchés se détachent en longues bandes de chiffres, de codes, cryptés : ce qui veut dire que, nous, nous ne savons même plus les lire.<br />Nous sommes tétanisés. Ce monde qui bruite est un désert. Dans le boucan, notre solitude paraît de plus en plus étendue, et la traversée improbable, pour trouver, de l’autre bord, d’un autre côté, un bras réel à accrocher.<br />Qu’est-ce qui reste réel ?<br />Nous sommes assistés.<br />Nous sommes augmentés.<br />Nous sommes harnachés de capteurs, de casques, de lunettes, de tirettes, de trucs et de bidules. Et nous n’avons peut-être jamais été aussi handicapés. Nous sentons de moins en moins le vol, de mieux en mieux la chute.<br />Nos assistants sont domestiques, psychologiques, miniatures, dans la poche, sur la table, à côté du lit, sur l’oreiller.<br />Face à leur inquiétante présence, tellement concrète, nous sommes réduits aux crises de nerfs (<i>pourquoi ça marche pas !</i>), à la dépression (<i>oh j’en peux plus !</i>), ou à la négociation (<i>s’il te plaît !</i>). Alors nous vociférons :<br />J’accepte !<br />J’accepte !<br />J’accepte !<br />Pour écarter la nouvelle sollicitation, la nouvelle fenêtre, la recommandation, l’emprise.<br />J’accepte d’être chevauché par un nouveau démon.<br />J’accepte de ne pas recevoir davantage de grâce.<br />J’accepte l’obscurité du monde.<br />J’accepte d’avoir peur davantage et j’accepte la médication.<br />J’accepte d’être hanté.<br />J’accepte d’être vidé.<br />J’accepte la fin du monde prochaine et je coche la case : pas ma génération.<br />J’accepte le stage déconnexion : deux jours tout compris.<br />J’accepte les obsèques de mamie dans le cloud.<br />J’accepte et j’en crève.</p><p> </p>
<iframe allow="autoplay; fullscreen; picture-in-picture" allowfullscreen="" frameborder="0" height="360" src="https://player.vimeo.com/video/680013383?h=ed1a7b5839&color=ef6d00&title=0&byline=0&portrait=0" width="640"></iframe>
<p><a href="https://vimeo.com/680013383">J'accepte</a> from <a href="https://vimeo.com/user57306741">Groupe Merci</a> on <a href="https://vimeo.com">Vimeo</a>.</p><p> <br />Texte : Charles Robinson<br />Mise en scène et conception : Joël Fesel assisté de Louise Tardif<br />Direction d’acteurs : Georges Campagnac<br />Création lumière et régie générale : Raphaël Sevet<br />Création vidéo : Xano Martinez<br />Création musicale : Boris Billier<br />Construction : Hadrien Albouy et Stéphane Chipeaux-Dardé<br />Avec : Catherine Beilin, Georges Campagnac, Marc Ravayrol, Louise Tardif<br />Production et diffusion : Céline Maufra<br />Remerciements : Marie-Laure Hée et le Laboratoire « In cookies project » <br /></p>Charles Robinsonhttp://www.blogger.com/profile/10280284901423750777noreply@blogger.comtag:blogger.com,1999:blog-6167977606997742987.post-59904106581709156282021-09-03T21:29:00.000+02:002021-09-03T21:29:48.404+02:00Sept 21 | Liaisons dangereuses<p></p><div class="separator" style="clear: both; text-align: center;"><a href="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEhLylB5Q45dxvlKtvnmuUe38JFulsGqx0I9qrV9LdefgpiUzBAaCG1PeebLyKNvq0QU1A1_KOtRPxUEpWhEepvZX9YXmLtmYcIHc8TSguWyBqI7XZiXLsCu_n74YYda_NiHaXdzrQYHUlE/s2000/IMG_0436.jpg" style="margin-left: 1em; margin-right: 1em;"><img border="0" data-original-height="1334" data-original-width="2000" height="427" src="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEhLylB5Q45dxvlKtvnmuUe38JFulsGqx0I9qrV9LdefgpiUzBAaCG1PeebLyKNvq0QU1A1_KOtRPxUEpWhEepvZX9YXmLtmYcIHc8TSguWyBqI7XZiXLsCu_n74YYda_NiHaXdzrQYHUlE/w640-h427/IMG_0436.jpg" width="640" /></a></div> <p></p><p>La littérature ne monte pas aisément au plateau, c’est même une drôle d’aventure à tenter.<br />Le passage de la page blanche à la 3D, du livre à la scène, de la solitude de l’écriture ou de la lecture à la coexistence en littérature, est une aventure impayable, bizarre, incertaine et pleine d’accidents.<br />#Hybridation des techniques #Manifestation du corps <br />#Dévoilement des voix #BO pompette <br />#Vidéo-paysage #Temps étiré #Artistes invités<br /><br />Le laboratoire <i>Liaisons dangereuses</i> teste, expérimente un mois durant tous ces possibles, ces outils, ces accordances : présence, silence, accélération, trouble, mouvement, couche et surcouche, épure, etc.<br />Six artistes invités accompagnent l’auteur sur son fil :<br />François Donato, musicien<br />Sandrine Maisonneuve, chorégraphe<br />Loran Chourrau, vidéaste<br />Nathalie Fillion, metteuse en scène<br />Joël Fesel, metteur en scène et performeur plasticien<br />Georges Campagnac, comédien<br /><br />Un grand merci à eux et à Anne Lefèvre pour l’accueil et la complicité.<br /><br />Le laboratoire sera ouvert au public à deux reprises, pour présenter des étapes de recherche, au Vent des Signes : le 16 et le 30 septembre.<br /><br />Il pourrait même y avoir des extraits du prochain roman...<br /><br />Ce laboratoire est mené dans le cadre d’une résidence à Le Vent des Signes, avec le soutien d’Occitanie Livre & Lecture – Programme financé par Toulouse Métropole et soutenu par la Région Occitanie et la DRAC Occitanie, dans le cadre du Plan d’urgence pour le Livre 2021/2024 de Toulouse Métropole.</p><p> </p><h4 style="text-align: left;">Théâtre Le Vent des Signes</h4><p style="text-align: left;">Le Vent des Signes – scène conventionnée par la Ville de Toulouse (2011), par le Conseil Départemental de la Haute-Garonne (2017), par le Ministère de la Culture / DRAC Occitanie Atelier de Fabrique Artistique (2018) – par le Conseil Régional Occitanie (2020) est un espace d’expérimentation engagé, indocile, libre où faire résonner les écritures au-delà de toutes frontières artistiques, un lieu incubateur dynamique et atypique, où prendre du recul, explorer les fonds, dégrafer les horizons.<br /><a href="https://www.leventdessignes.fr/">leventdessignes.fr</a></p>Charles Robinsonhttp://www.blogger.com/profile/01309029492158401900noreply@blogger.comtag:blogger.com,1999:blog-6167977606997742987.post-81474240432382525112021-05-04T10:09:00.000+02:002021-05-04T10:09:01.744+02:00Studio cosmique - 5 mai<div class="separator" style="clear: both; text-align: center;"><a href="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEgOG0ur1eRVkOuiAWBtRVeOOJMkZUVJ3P3SozvroVM70V2QYKCJpNh3QSgv3ls09cya0ioA4d66XSiWLSpI_ZN5kXPkdwHm8kkEKwszhK9O2nrxqQGp8e7TgIEe2J6XQG-fLflFU975TKc/s1920/CNES_OdE-STUDIO_COSMIQUE-SOCMED-FB_Post-lxh-1920x1080-FB_2021.jpg" imageanchor="1" style="margin-left: 1em; margin-right: 1em;"><img border="0" data-original-height="1080" data-original-width="1920" height="360" src="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEgOG0ur1eRVkOuiAWBtRVeOOJMkZUVJ3P3SozvroVM70V2QYKCJpNh3QSgv3ls09cya0ioA4d66XSiWLSpI_ZN5kXPkdwHm8kkEKwszhK9O2nrxqQGp8e7TgIEe2J6XQG-fLflFU975TKc/w640-h360/CNES_OdE-STUDIO_COSMIQUE-SOCMED-FB_Post-lxh-1920x1080-FB_2021.jpg" width="640" /></a></div><br /><p></p><div class="" dir="auto"><div class="ecm0bbzt hv4rvrfc ihqw7lf3 dati1w0a" data-ad-comet-preview="message" data-ad-preview="message" id="jsc_c_3f"><div class="j83agx80 cbu4d94t ew0dbk1b irj2b8pg"><div class="qzhwtbm6 knvmm38d"><span class="d2edcug0 hpfvmrgz qv66sw1b c1et5uql b0tq1wua a8c37x1j keod5gw0 nxhoafnm aigsh9s9 d9wwppkn fe6kdd0r mau55g9w c8b282yb hrzyx87i jq4qci2q a3bd9o3v knj5qynh oo9gr5id hzawbc8m" dir="auto"><div class="kvgmc6g5 cxmmr5t8 oygrvhab hcukyx3x c1et5uql ii04i59q"><div dir="auto" style="text-align: start;">La terre est une sorte d’emballage. Un vieux carton pour hamburger, qu’on laissera derrière nous, flotter dans le sillage, avec des bouts de frites grasses, des derricks, des manteaux en peaux de daim, et des étagères en aggloméré déformées par l’humidité, éclatées d’avoir été dévissées après un ultime déménagement.</div><div dir="auto" style="text-align: start;">C’est chouette d’avoir trouvé une utilité à la planète.</div><div dir="auto" style="text-align: start;">On sait enfin quoi faire de tous ces satellites en suspension et des débris d’engins spatiaux. Il suffit de les ramener vers l’orbite pour les faire gagner par la gravitation et qu’ils s’écrasent dans la grande déchetterie que nous aurons quittée.</div><div dir="auto" style="text-align: start;"> </div></div><div class="o9v6fnle cxmmr5t8 oygrvhab hcukyx3x c1et5uql ii04i59q"><div dir="auto" style="text-align: start;">On en cause le 5 mai, au Studio cosmique du CNES, et c'est sur inscription...</div><div dir="auto" style="text-align: start;"> </div></div><div class="o9v6fnle cxmmr5t8 oygrvhab hcukyx3x c1et5uql ii04i59q"><div dir="auto" style="text-align: start;">Inscrivez-vous en adressant un mail à : <a href="mailto:ode.inscription@gmail.com">ode.inscription@gmail.com</a></div></div><div class="o9v6fnle cxmmr5t8 oygrvhab hcukyx3x c1et5uql ii04i59q"><div dir="auto" style="text-align: start;">Rejoignez l’événement : <span class="d2edcug0 hpfvmrgz qv66sw1b c1et5uql b0tq1wua a8c37x1j keod5gw0 nxhoafnm aigsh9s9 d9wwppkn fe6kdd0r mau55g9w c8b282yb hrzyx87i jq4qci2q a3bd9o3v knj5qynh oo9gr5id hzawbc8m" dir="auto"><span><a class="oajrlxb2 g5ia77u1 qu0x051f esr5mh6w e9989ue4 r7d6kgcz rq0escxv nhd2j8a9 nc684nl6 p7hjln8o kvgmc6g5 cxmmr5t8 oygrvhab hcukyx3x jb3vyjys rz4wbd8a qt6c0cv9 a8nywdso i1ao9s8h esuyzwwr f1sip0of lzcic4wl q66pz984 gpro0wi8 b1v8xokw" href="https://www.facebook.com/events/475058590276039/?__cft__[0]=AZW0hsHIyZq5N_sSV1DZRoWnOEQrvCUGlYsmtlAM9hEF9fu3QXUs1vxBs8C5x0LNVDameHyeaw-Evav4zWQHn-qkFMZRlHEd9-7vZt7yeDHUi6KVogEBvddQrhyErUKNxSw&__tn__=-UK-R" role="link" tabindex="0"><span>facebook.com/events/475058590276039</span></a></span></span></div><div dir="auto" style="text-align: start;"><span class="d2edcug0 hpfvmrgz qv66sw1b c1et5uql b0tq1wua a8c37x1j keod5gw0 nxhoafnm aigsh9s9 d9wwppkn fe6kdd0r mau55g9w c8b282yb hrzyx87i jq4qci2q a3bd9o3v knj5qynh oo9gr5id hzawbc8m" dir="auto"><span><span><br /></span></span></span><span><a class="oajrlxb2 g5ia77u1 qu0x051f esr5mh6w e9989ue4 r7d6kgcz rq0escxv nhd2j8a9 nc684nl6 p7hjln8o kvgmc6g5 cxmmr5t8 oygrvhab hcukyx3x jb3vyjys rz4wbd8a qt6c0cv9 a8nywdso i1ao9s8h esuyzwwr f1sip0of lzcic4wl q66pz984 gpro0wi8 b1v8xokw" href="https://www.facebook.com/events/475058590276039/?__cft__[0]=AZW0hsHIyZq5N_sSV1DZRoWnOEQrvCUGlYsmtlAM9hEF9fu3QXUs1vxBs8C5x0LNVDameHyeaw-Evav4zWQHn-qkFMZRlHEd9-7vZt7yeDHUi6KVogEBvddQrhyErUKNxSw&__tn__=-UK-R" role="link" tabindex="0"><div class="nc684nl6"><span></span></div></a></span></div><div dir="auto" style="text-align: start;"><br /></div><div style="text-align: left;"><div style="text-align: center;"><span class="d2edcug0 hpfvmrgz qv66sw1b c1et5uql b0tq1wua a8c37x1j keod5gw0 nxhoafnm aigsh9s9 d9wwppkn fe6kdd0r mau55g9w c8b282yb hrzyx87i jq4qci2q a3bd9o3v knj5qynh oo9gr5id hzawbc8m" dir="auto"><span><span><a href="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEg4uIq_orIvSMQ-6nNs2p4wXvJ0jrryWXPnaKGHskqO6WgZ3D4azZV3AabTLjr5FJXiHtL9A8wwtP3odIq0kttfuW03m1NpMHNFLaoi2oXgidbdy_2AeOoEAB9nzMRSCcvpLYPRH3eyspg/s540/OdE_Studio_Cosmique_visuel_mai-2021.jpg" style="margin-left: 1em; margin-right: 1em;"><img border="0" data-original-height="540" data-original-width="540" height="400" src="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEg4uIq_orIvSMQ-6nNs2p4wXvJ0jrryWXPnaKGHskqO6WgZ3D4azZV3AabTLjr5FJXiHtL9A8wwtP3odIq0kttfuW03m1NpMHNFLaoi2oXgidbdy_2AeOoEAB9nzMRSCcvpLYPRH3eyspg/w400-h400/OdE_Studio_Cosmique_visuel_mai-2021.jpg" width="400" /></a></span></span></span></div><span><a class="oajrlxb2 g5ia77u1 qu0x051f esr5mh6w e9989ue4 r7d6kgcz rq0escxv nhd2j8a9 nc684nl6 p7hjln8o kvgmc6g5 cxmmr5t8 oygrvhab hcukyx3x jb3vyjys rz4wbd8a qt6c0cv9 a8nywdso i1ao9s8h esuyzwwr f1sip0of lzcic4wl q66pz984 gpro0wi8 b1v8xokw" href="https://www.facebook.com/events/475058590276039/?__cft__[0]=AZW0hsHIyZq5N_sSV1DZRoWnOEQrvCUGlYsmtlAM9hEF9fu3QXUs1vxBs8C5x0LNVDameHyeaw-Evav4zWQHn-qkFMZRlHEd9-7vZt7yeDHUi6KVogEBvddQrhyErUKNxSw&__tn__=-UK-R" role="link" tabindex="0"><div class="nc684nl6"><span></span></div></a></span></div><div dir="auto" style="text-align: start;"><span class="d2edcug0 hpfvmrgz qv66sw1b c1et5uql b0tq1wua a8c37x1j keod5gw0 nxhoafnm aigsh9s9 d9wwppkn fe6kdd0r mau55g9w c8b282yb hrzyx87i jq4qci2q a3bd9o3v knj5qynh oo9gr5id hzawbc8m" dir="auto"><span><span><br />En réponse à une actualité spatiale toujours plus foisonnante, les auteurs et les artistes de la revue de création Espace(s) font valoir leur opinion d’experts culturels de l’Espace dans une émission radio enregistrée en public, au CNES.<br />Les invités du Studio Cosmique démêlent, avec les outils de la littérature et de la création, les questions qui animent le <i>NewSpace</i>, cet ensemble d’acteurs, de technologies et de possibilités commerciales et sociétales brandi comme le nouvel Eldorado de l’humanité. Les invités du Studio Cosmique reformulent ces interrogations, de la sempiternelle question de l’exode cosmique aux modes de vie que nous nous inventerons dans l’Espace, en passant par notre adaptation physique à une existence spatiale. Accompagnés par David Christoffel, membre du comité de rédaction d’Espace(s), poète et homme de radio, ils empruntent des chemins de traverse pour réfléchir à ces enjeux du XXIe siècle où le désir de faire advenir une nouvelle ère spatiale le dispute à un autre genre d’intranquillité : l’Espace veut-il de nous ?<br /><br />Chaque rencontre du <a href="https://www.cnes-observatoire.fr/ode-evenements/2021-04-19_studio-cosmique-robinson/charles-robinson-socialites-spatiales.html" target="_blank">Studio Cosmique</a> est enregistrée en public et participe à la constitution d’une collection de podcasts disponibles en exclusivité sur la plate-forme <a href="https://www.switchonpaper.com/" target="_blank">Switch [on Paper]</a>, média d’actualité culturelle en ligne et partenaire de l’événement.<br /></span></span></span><span><a class="oajrlxb2 g5ia77u1 qu0x051f esr5mh6w e9989ue4 r7d6kgcz rq0escxv nhd2j8a9 nc684nl6 p7hjln8o kvgmc6g5 cxmmr5t8 oygrvhab hcukyx3x jb3vyjys rz4wbd8a qt6c0cv9 a8nywdso i1ao9s8h esuyzwwr f1sip0of lzcic4wl q66pz984 gpro0wi8 b1v8xokw" href="https://www.facebook.com/events/475058590276039/?__cft__[0]=AZW0hsHIyZq5N_sSV1DZRoWnOEQrvCUGlYsmtlAM9hEF9fu3QXUs1vxBs8C5x0LNVDameHyeaw-Evav4zWQHn-qkFMZRlHEd9-7vZt7yeDHUi6KVogEBvddQrhyErUKNxSw&__tn__=-UK-R" role="link" tabindex="0"><div class="nc684nl6"><span></span></div></a></span></div></div></span></div></div></div></div>Charles Robinsonhttp://www.blogger.com/profile/01309029492158401900noreply@blogger.comtag:blogger.com,1999:blog-6167977606997742987.post-17297609524429566012020-07-09T10:11:00.000+02:002020-07-09T10:11:00.903+02:00création numérique | Nos natures sont vertigineuses<br />
<div class="separator" style="clear: both; text-align: center;">
<a href="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEikt6wHc53GTGvuvMwd21DudFX_QgCTB_MCmRigYt8z_VOyTib3JF3Wxbut9zsDfyKJTxqe3-OW-tlA99ioqPTkPAkj6zsomUQ3BCexbYo5gdfknYB6nTF9JQjd4wgdBp-CaC4FPQw-XdQ/s1600/IMG_2435.jpg" imageanchor="1" style="margin-left: 1em; margin-right: 1em;"><img border="0" data-original-height="1000" data-original-width="1500" src="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEikt6wHc53GTGvuvMwd21DudFX_QgCTB_MCmRigYt8z_VOyTib3JF3Wxbut9zsDfyKJTxqe3-OW-tlA99ioqPTkPAkj6zsomUQ3BCexbYo5gdfknYB6nTF9JQjd4wgdBp-CaC4FPQw-XdQ/s1600/IMG_2435.jpg" /></a></div>
<br />
Le corps est le premier des champs de bataille dont nous sommes la défaite. Un territoire où les forces d’occupation sont le stress et la médication chimique.<br />
Où une caresse est déjà un acte de résistance.<br />
<br />
Pour le reste, nos corps et nous vivons à part.<br />
<br />
Le corps est le soutier servile de nos passionnantes aventures relationnelles, numériques, sociétales et sociales.<br />
Le sexe, et les maladies, nous font atterrir quelquefois : « Coucou, c’est la chair, ça va toi ? »<br />
<br />
Nous avons besoin de métaphores.<br />
Nous avons besoin de regarder à nouveau, pour penser encore, pour ressentir par un autre biais.<br />
Pour revenir à l’unité complexe et mouvante de tout ce qui fabrique de l’être.<br />
De ce point de vue, une métaphore est virale. Contamination & diffusion.<br />
<br />
Allez, on se fait une métaphore.<br />
<br />
<center>
<br /><span style="color: orange;"><span style="font-size: large;"><a href="http://nonasove.blogspot.com/" target="_blank">nonasove.blogspot.com</a></span></span></center>
<br />
<br />
<br />
<span style="font-family: "courier new" , "courier" , monospace;">Œuvre soutenue dans le cadre du projet de soutien à la création « Après », Galerie Jean-Collet de Vitry-sur-Seine, TRAM Réseau art contemporain Paris / Île-de-France, 2020</span><br />
<br />Charles Robinsonhttp://www.blogger.com/profile/01309029492158401900noreply@blogger.comtag:blogger.com,1999:blog-6167977606997742987.post-18518942393625001872020-01-31T10:51:00.000+01:002020-01-31T10:51:41.911+01:00No More Spleen<h2>
festival Concordan(s)e 2020 </h2>
<i>nouvelle création</i><br />
<br />
En 2017, Frank Micheletti et Charles Robinson imaginaient <a href="http://spleenologie.blogspot.com/" target="_blank">The Spleen</a>, une grande enquête pop à travers nos intoxications : technologiques, politiques, organiques. L’enquête prenait la forme survoltée d’une succession de tableaux colorés, passant d’un western à une épopée spatiale, un documentaire anatomique, un thriller, etc.<br />
Avec presque quarante dates au compteur, le duo a affiné son écriture collective, sa complicité et son amitié. Invités à nouveau par Concordan(s)e, les deux artistes vont développer cet univers et cette écriture, continuer à enquêter sur un certain état du monde et sur nos si nombreuses façons de nous rendre patraques, défaillants ou cinglés, tout en nous ménageant des échappées, des sursauts, des ruses imparables.<br />
<br />
<div style="text-align: center;">
<span style="font-size: x-large;"><b>No More Spleen</b></span> </div>
<br />
<div class="separator" style="clear: both; text-align: center;">
</div>
<div class="separator" style="clear: both; text-align: center;">
<a href="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEhnPHBF0oCEc7Y8zE6m7cTt8Ihpd1C3aiNrRcxDcui_51x1M8RRFwSdmrQNz_S-uV_3OT3l1EDYwdCyxHBO9lKJ1XpvPllriXzFaHUDEEfzDHtbqF4K1MqIs2g32y1TIeTb5k_ZpoZ89ac/s1600/Stage.jpg" imageanchor="1" style="margin-left: 1em; margin-right: 1em;"><img border="0" data-original-height="922" data-original-width="1384" src="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEhnPHBF0oCEc7Y8zE6m7cTt8Ihpd1C3aiNrRcxDcui_51x1M8RRFwSdmrQNz_S-uV_3OT3l1EDYwdCyxHBO9lKJ1XpvPllriXzFaHUDEEfzDHtbqF4K1MqIs2g32y1TIeTb5k_ZpoZ89ac/s1600/Stage.jpg" /></a></div>
<br />
<br />
Clairière. Un grand pataud. Il s’amuse à recosmiser la Terre avec les sables aéroportés, les volcans, les embruns marins. Une sirène dans la fontaine veut rêver plus loin. Une cavalcade aux trajectoires abîmées. Des machinistes, en duo. Quelqu’un parle de sa vie. Regarde dans le vide, cherche ses mots. On dirait un vieux film à la pellicule poudreuse. Personne ne comprend où il veut en venir. Le genre visage farineux et les chaussures trop grandes. Il emploie des mots comme « aliénation », ou « dérisoire ». Il dérive et divague pour ne pas poser la trace grasse de ses mains sur le monde.<br />Il est très drôle, dit quelqu’un. Qu’est-ce qu’il nous fait rire.<br /><br /><i>Forget your perfect offering<br />There is a crack in everything<br />That's how the light gets in.</i><br /><br />En ce temps-là, il avait besoin de ses périodes de dépression comme d’autres partaient en vacances.<br />
<br />
<br />
<b>Dates</b><br />
Lundi 24 février -- 19h00<br />BPI Centre Pompidou – Paris<br /><br />Samedi 29 février -- 16h00<br />Médiathèque Louis Aragon – Fontenay-sous-Bois<br /><br />Jeudi 12 mars -- 20h00<br />Bibliothèque-Médiathèque Rolland-Plaisance – Évreux<br /><br />Samedi 14 mars -- 16h00<br />Médiathèque Marguerite Duras – Brétigny<br /><br />Samedi 21 mars -- 18h00<br />Bibliothèque Marguerite Audoux – Paris<br /><br />Lundi 30 mars -- 20h00<br />Maison de la poésie – Paris<br /><br />Mardi 31 mars -- 12h00<br />Université Paris 13 – Bobigny<br /><br />Samedi 4 avril -- 18h30<br />Parc Culturel - Michel Chartier – Rentilly<br />
<br />
toutes les informations sur <a href="http://www.concordanse.com/" target="_blank">le site du festival Concordan(s)e</a> <br />
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<div class="separator" style="clear: both; text-align: center;">
<a href="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEhcnW63izssjHHVAm4p4MyITlVcdoa20hum9g4gDEkAc3EXOW2_16ZigSHU0Q2lEsQqm3QNWBVcNrt-vOeiSDlp9O3DojP0J8W4ILOOzzHMeo_FZD8kMXvwZt6BG2QT3yiJUKYpxhEFOUM/s1600/Stage+-+FM.jpg" imageanchor="1" style="margin-left: 1em; margin-right: 1em;"><img border="0" data-original-height="922" data-original-width="1384" height="266" src="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEhcnW63izssjHHVAm4p4MyITlVcdoa20hum9g4gDEkAc3EXOW2_16ZigSHU0Q2lEsQqm3QNWBVcNrt-vOeiSDlp9O3DojP0J8W4ILOOzzHMeo_FZD8kMXvwZt6BG2QT3yiJUKYpxhEFOUM/s400/Stage+-+FM.jpg" width="400" /></a></div>
<br />
<br />Charles Robinsonhttp://www.blogger.com/profile/01309029492158401900noreply@blogger.comtag:blogger.com,1999:blog-6167977606997742987.post-79121097779051309342018-11-13T12:13:00.003+01:002018-11-13T12:25:12.326+01:00BIFURCATIONS#4 -- Nantes<div class="separator" style="clear: both; text-align: center;">
</div>
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<div class="separator" style="clear: both; text-align: center;">
<a href="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEheDnNG8CAplRdFAi7uF6gtEFSaufK76hSXNQ7wh2ceQ-VVM0rHSbZeq-WJGs6hWzPDHZnZfKHeG5Te1u0tg1RtEwGUe6lZ7MYBnXKLfYqWFJzcbzU9uXoTwid7o7jW_uKRodIrwGYAP6w/s1600/Bifurcations-affiche.jpg" imageanchor="1" style="margin-left: 1em; margin-right: 1em;"><img border="0" data-original-height="1131" data-original-width="800" height="640" src="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEheDnNG8CAplRdFAi7uF6gtEFSaufK76hSXNQ7wh2ceQ-VVM0rHSbZeq-WJGs6hWzPDHZnZfKHeG5Te1u0tg1RtEwGUe6lZ7MYBnXKLfYqWFJzcbzU9uXoTwid7o7jW_uKRodIrwGYAP6w/s640/Bifurcations-affiche.jpg" width="452" /></a></div>
<br />
Pour sa quatrième édition, <a href="https://latangenteblog.wordpress.com/">BIFURCATIONS</a> invite Charles Robinson et lui donne carte blanche pour trois jours de programmation : littératures, performances, danses, projections, musiques, et même vente aux enchères.<br />
<br />
<blockquote class="tr_bq">
Un roman est une salle d’entraînement aux usages, un gymnase, des gradins. Et lire un roman, ce n’est pas être consommateur anonyme dans le flux des langues fades, mais foncer en short, couteau à la main, transpiration qui coule sur le front et les yeux. C’est toujours très physique la lecture d’un roman.<br />
<br />
C’est pour ça que c’est bon.</blockquote>
<br />
Une programmation dense à retrouver en images sur le teaser :<br />
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<div class="separator" style="clear: both; text-align: center;">
<iframe allowfullscreen="" class="YOUTUBE-iframe-video" data-thumbnail-src="https://i.ytimg.com/vi/X2Bj_nPoMvI/0.jpg" frameborder="0" height="315" src="https://www.youtube.com/embed/X2Bj_nPoMvI?feature=player_embedded" width="560"></iframe></div>
<br />
<a href="https://latangenteblog.wordpress.com/programmation-b4/">Ou en détail sur le site du festival</a>.Charles Robinsonhttp://www.blogger.com/profile/01309029492158401900noreply@blogger.comtag:blogger.com,1999:blog-6167977606997742987.post-63271540095166536222018-11-10T18:23:00.001+01:002018-11-10T18:23:24.759+01:00FIMM[+]18, ToulouseDe retour à Toulouse pour le <a href="https://www.leventdessignes.fr/index.php?option=com_content&view=category&layout=blog&id=95&Itemid=537">festival FIMM[+]18</a><br />
festival insolite musiquemots [et + si affinitÉs]<br />
<div class="separator" style="clear: both; text-align: center;">
<a href="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEhQ0Ii3l9zzPhcu_PFzBXEYFGtpJxZ11ragBqq61e6a6NteVe2yCyKxhIWAYv53nhOnDtxz9gYgjCoyVInknt9cgL4KNWJxR_JHy8C2GMMXxQ7TdJRDPUzI2afh4toCZTHLyMRxVD6f8Z8/s1600/w_fimm18_2.jpg" imageanchor="1" style="margin-left: 1em; margin-right: 1em;"><img border="0" data-original-height="554" data-original-width="400" height="400" src="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEhQ0Ii3l9zzPhcu_PFzBXEYFGtpJxZ11ragBqq61e6a6NteVe2yCyKxhIWAYv53nhOnDtxz9gYgjCoyVInknt9cgL4KNWJxR_JHy8C2GMMXxQ7TdJRDPUzI2afh4toCZTHLyMRxVD6f8Z8/s400/w_fimm18_2.jpg" width="288" /></a></div>
<br />
une production <a href="https://www.leventdessignes.fr/">Le Vent des Signes</a><br />
<br />
<br />
Avec deux performances littéraires :<br />
<h2>
Fabrication de la guerre civile - vaudou</h2>
<b>9 nov. -- médiathèque de Lorp-Sentaraille</b><br />
<br />
<blockquote class="tr_bq">
Tu as déjà vu un corps flotter dans l’eau ? Une épaule ? Une épaule, dans une parka ? Une capuche, dans une parka moisie ? Tu as déjà vu l’onde dans l’eau derrière le corps ? Tu as déjà attrapé le vêtement d’une main, et tiré vers toi, et la manche s’est déchirée, et les lambeaux te sont restés entre les doigts, et tu les sens encore, des années après, collés, sur tes phalanges, incrustés sous tes ongles, incrustés dans ta peau ?</blockquote>
<br />
<h2>
Infinite Loss</h2>
avec Guillaume Ertaud<br />
<b>17 nov. -- Le Vent des Signes </b><br />
<br />
<blockquote class="tr_bq">
À quoi le naufragé pourrait-il se tenir accroché, sinon à l’échec ? L’échec de cette relation-là, unique. Incapacité à réaliser, à maintenir une relation, en général. Incapacité qui s’ajoute aux échecs passés et y renvoient. Voilà ton bois flotté, ton mat déchiqueté, qui explique pourquoi la personne abandonnée est toujours vaguement antipathique aux tiers, pourquoi elle apparaît sale. La rupture est un miroir. Un miroir partiel. L’image est objectivement fausse, mais elle est réelle, et là où tu devrais être tout entier occupé par la pensée de l’autre, cette image vénéneuse empoisonne tes pensées. Ce que tu es dans la rupture. Ce qui de toi signe et cause la rupture. Ta propre faute d’exister, la manière fautive dont tu es. Tu t’y accroches dans le naufrage, et tu lui voues une haine absolue. Ce qui a été repoussé. Ce qui n’a pas été aimé. L’affreuse boule de personnalité et de blessures anciennes que tu cherches à dissimuler, que tu devras dissimuler. Ce que tu embarques dans chaque histoire, et que la rupture dévoile une fois de plus, par un grand tour de magicien tirant d’un coup sec le voile dont tu croyais être couvert. </blockquote>
Charles Robinsonhttp://www.blogger.com/profile/01309029492158401900noreply@blogger.comtag:blogger.com,1999:blog-6167977606997742987.post-16058329205629396372018-07-10T12:19:00.002+02:002018-07-10T12:34:12.755+02:00De la guerre civile, ou, Disneyland après la Bombe - 18-22 juillet<div class="separator" style="clear: both; text-align: center;">
<a href="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEgVurDSs_2ckIVJ03XbIWps4p4KhFwOLDnVyeOq-1Tg3ohtrlXru1KflChQ2TlnHwUeJMdvJTd5ZCjn5qt0bmCdPkJypzHApO_ifYe-wcYtYQYz3R_nCzh8j8b2dv9QbgSAcjDGXGknwtQ/s1600/Guerre-2.png" imageanchor="1" style="margin-left: 1em; margin-right: 1em;"><img border="0" data-original-height="602" data-original-width="861" height="446" src="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEgVurDSs_2ckIVJ03XbIWps4p4KhFwOLDnVyeOq-1Tg3ohtrlXru1KflChQ2TlnHwUeJMdvJTd5ZCjn5qt0bmCdPkJypzHApO_ifYe-wcYtYQYz3R_nCzh8j8b2dv9QbgSAcjDGXGknwtQ/s640/Guerre-2.png" width="640" /></a></div>
<br />
<blockquote class="tr_bq">
<span style="font-family: "trebuchet ms" , sans-serif;"><span style="font-family: "times" , "times new roman" , serif;"><span style="font-size: x-small;"><span style="color: blue;">CR_narratif |</span></span> GTA voudrait jouer lui aussi. Mais, ce jeu, quelqu’un a lu les règles ?<br />Bégum tortille sa chaîne qui part de la narine gauche pour rejoindre l’oreille, du bout du doigt, comme une fillette de trois ans son doudou.<br /><span style="font-size: x-small;"><span style="color: red;">VP_Bégum |</span></span> — Il faudra que tu surmontes ta peur.<br /><span style="font-size: x-small;"><span style="color: blue;">CR_GTA |</span></span> — Ouais, je sais pas pourquoi : des fois, je suis là, prêt à me battre, à y aller... et puis, j’ai le vertige.<br /><span style="font-size: x-small;"><span style="color: red;">VP_Bégum |</span></span> — Ils ont une attraction. Space je sais pas quoi. Ils ressortent, ils ont les cheveux, t’y crois pas, dans tous les sens, électriques. Ça fait des boules. Porc-épic. Un truc comme ça. C’est énorme, les attractions. Ça transforme les gens. Ils viennent avec leurs poussettes. Ça en fait des monstres. J’adore.</span></span></blockquote>
D’une Cité qui implose, nous connaissons tous des images. Toujours les mêmes. Des silhouettes capuchonnées. Des lanceurs de feu. Des motos brûlées. Des fourgons. Un préfet. <br />
Une sarabande de figures imposées. Des moments-spectres tirés du grand récit des peurs contemporaines.<br />
Après l’information : nous n’avons rien vu, rien entendu.<br />
<br />
La Cité des Pigeonniers : Budda, Popie, GTA, Bégum, Boy, DoBoï, T-Vie, Jizz... en version marathon, avec cinq dates à la file. <br />
<br />
C'est à <a href="http://www.gareautheatre.com/spectacle.php?id=1968">Nous n'irons pas à Avignon</a>, avec un texte inédit, deux voix, vingt personnages, une création vidéo de Mathieu Catonné et une création sonore des <a href="https://lenacircus.bandcamp.com/">Lena Circus</a>.<br />
<ul>
<li>18-22 juillet 2018</li>
<li>21 heures</li>
<li>à <a href="http://www.gareautheatre.com/">Gare au théâtre</a>, Vitry-sur-Seine</li>
</ul>
<br />
Et même si ça a beaucoup bougé depuis, voici un extrait en session de travail.<br />
<br />
<div class="separator" style="clear: both; text-align: center;">
<iframe allowfullscreen="" class="YOUTUBE-iframe-video" data-thumbnail-src="https://i.ytimg.com/vi/FZc6ZFMrzCc/0.jpg" frameborder="0" height="266" src="https://www.youtube.com/embed/FZc6ZFMrzCc?feature=player_embedded" width="320"></iframe></div>
<br />
<br />
See you thereCharles Robinsonhttp://www.blogger.com/profile/01309029492158401900noreply@blogger.comtag:blogger.com,1999:blog-6167977606997742987.post-34308101826571480042018-06-13T21:41:00.000+02:002018-06-13T21:41:03.666+02:00Cité des Pigeonniers - prolongation numérique<h2 style="text-align: center;">
Cité des Pigeonniers : the untold stories</h2>
<h3 style="text-align: center;">
<span style="color: #999999;">création numérique</span></h3>
<div class="separator" style="clear: both; text-align: center;">
<a href="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEhEFqXKyNSPw6fw93tVJsjSiqnEmp4a_Kt4OibxdJoquyzw1lD0Shfn8K9U-2TvATlmbwVOex7KSB3CY804im27q3gMC0ki4VXj1dsIDJX8m_wrGxDLY0D3OzV-L7IjrcndsswdWnhXtYw/s1600/Cave+-+C120729_0030.jpg" imageanchor="1" style="margin-left: 1em; margin-right: 1em;"><img border="0" data-original-height="864" data-original-width="1296" height="426" src="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEhEFqXKyNSPw6fw93tVJsjSiqnEmp4a_Kt4OibxdJoquyzw1lD0Shfn8K9U-2TvATlmbwVOex7KSB3CY804im27q3gMC0ki4VXj1dsIDJX8m_wrGxDLY0D3OzV-L7IjrcndsswdWnhXtYw/s640/Cave+-+C120729_0030.jpg" width="640" /></a></div>
<blockquote class="tr_bq">
2 romans<br />
10 bâtiments<br />
322 appartements<br />
1200 habitants<br />
150 personnages</blockquote>
Et l’envie d’offrir encore un moment à chacun.<br />
Une carte postale ?<br />
Raboter un peu de présence ?<br />
<br />
Des copeaux de textes, d’images, de vidéos, de sons. Inédits. Et des sentiers buissonniers à emprunter librement. <br />
Arpenter. Picorer. Chercher. Deviner. <br />
<br />
Soit un an et demi de travail, parce qu’il faut prendre soin des univers romanesques, entretenir, arroser, tailler, replanter, voir refleurir.<br />
<br />
La Cité des Pigeonniers, mi-2018, c’est donc :<br />
<br />
<a href="http://charles-robinson.blogspot.com/search/label/Dans%20les%20Cit%C3%A9s">Dans les Cités</a> – roman <br />
<a href="https://www.franceculture.fr/emissions/latelier-de-la-creation-14-15/acr-dans-les-cites">Dans les Cités</a> – pièce radiophonique<br />
<a href="http://charles-robinson.blogspot.fr/search/label/Fabrication%20de%20la%20guerre%20civile">Fabrication de la guerre civile</a> – roman <br />
<a href="http://fabricationdelaguerrecivile.tumblr.com/">De la guerre civile, ou, Disneyland après la Bombe</a> – pièce pour 3 musiciens et 2 lecteurs<br />
une tripotée de live...<br />
<br />
<blockquote class="tr_bq">
<span style="font-size: large;">Alors, la balade numérique, comment est-ce que ça commence ?</span><br />
En cliquant ici : <a href="https://radiobuzz-pigeonniers.blogspot.com/">Cité des Pigeonniers : the untold stories</a></blockquote>
<br />
---<br />
Cette création numérique a été rendue possible grâce à l’appui décisif de quelques complices :<br />
<ul>
<li>le <a href="https://www.google.com/url?sa=t&rct=j&q=&esrc=s&source=web&cd=1&cad=rja&uact=8&ved=0ahUKEwiG3LG5ktHbAhWEFxQKHQWCA0wQFggpMAA&url=http%3A%2F%2Fpolau.org%2F&usg=AOvVaw3KnqZc7o395RpkOMq27vOq">pOlau-pôle arts & urbanisme</a> – et en particulier Pascal Ferren, par ailleurs précieux sparring-partner en conversations urbaines</li>
<li>le <a href="https://www.google.com/url?sa=t&rct=j&q=&esrc=s&source=web&cd=1&cad=rja&uact=8&ved=0ahUKEwijm6vAktHbAhWHOhQKHf36AT8QFggoMAA&url=http%3A%2F%2Fwww.ciclic.fr%2F&usg=AOvVaw03YkzLI1380bAfh3u_nu8Y">CICLIC, agence régionale du Centre-Val de Loire pour le livre, l’image et la culture numérique</a> – et en particulier Yan Dissez, qui fit confiance pour lancer une aventure aux contours imprécis</li>
<li><a href="https://seinesaintdenis.fr/In-Situ-artistes-en-residence-dans-les-colleges.html">In Situ, dispositif d’artistes en résidence dans les collèges de Seine-Saint-Denis</a> – et en particulier Dominique Bourzeix et Yasmine Di Noia, qui eux aussi avancèrent les yeux fermés</li>
<li><a href="https://www.google.com/url?sa=t&rct=j&q=&esrc=s&source=web&cd=1&cad=rja&uact=8&ved=0ahUKEwjY0O3YktHbAhUG1hQKHX9YDyYQFggpMAA&url=http%3A%2F%2Fwww.concordanse.com%2F&usg=AOvVaw2M_DnAFpCofG_SE5Au--mQ">Indisciplinaire(s) et l’équipe Concordanse</a> – en particulier Jean-François Munnier et Corinne Hadjadj, qui ne sera jamais la dernière pour plonger dans le bizarre</li>
</ul>
Un très grand merci à vous tous. Charles Robinsonhttp://www.blogger.com/profile/01309029492158401900noreply@blogger.comtag:blogger.com,1999:blog-6167977606997742987.post-84431410427112269502018-03-06T22:22:00.000+01:002018-03-06T22:22:07.584+01:00Infinite loss - en librairie<div class="separator" style="clear: both; text-align: center;">
<a href="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEgYB2ickAmHdfH1E6v8l1HIt7NuhH3rx4pf97-Xyt8tqWJu3YrL8SY5CjNGu2qkVFsPeY0ML2tcyA8CfRx1lCqNBh88x93dl9RuB-Bji_Lm37RzBTBeq76RGsK_lKe8dznd5Rk_15OTVus/s1600/Couverture.jpg" imageanchor="1" style="margin-left: 1em; margin-right: 1em;"><img border="0" data-original-height="473" data-original-width="329" height="400" src="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEgYB2ickAmHdfH1E6v8l1HIt7NuhH3rx4pf97-Xyt8tqWJu3YrL8SY5CjNGu2qkVFsPeY0ML2tcyA8CfRx1lCqNBh88x93dl9RuB-Bji_Lm37RzBTBeq76RGsK_lKe8dznd5Rk_15OTVus/s400/Couverture.jpg" width="277" /></a></div>
<br />
<center>
<table>
<tbody>
<tr>
<th style="text-align: center;"><div class="separator" style="clear: both;">
<a href="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEjK2C0VXRONvWjXBBNnIpjoPEGTyjKOJuFxaJcDgn45TIL48Ey1d8IDp9qbN23cGP9noNsAr_fuv5rRctVhVZkbKc2477LH7Dm347LPwEeUCvYfaA8mcq0_FFHpqQZYci3Mv-17xeYnFfQ/s1600/Dessin.jpg" imageanchor="1" style="margin-left: 1em; margin-right: 1em;"><img border="0" data-original-height="416" data-original-width="292" height="320" src="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEjK2C0VXRONvWjXBBNnIpjoPEGTyjKOJuFxaJcDgn45TIL48Ey1d8IDp9qbN23cGP9noNsAr_fuv5rRctVhVZkbKc2477LH7Dm347LPwEeUCvYfaA8mcq0_FFHpqQZYci3Mv-17xeYnFfQ/s320/Dessin.jpg" width="224" /></a></div>
</th>
<th><div class="separator" style="clear: both; text-align: center;">
<a href="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEgJqruiA11B2e5nI_HKW5WgE3y64Kz3ltBFEG3H9esEmxL2suTUAmUY6cEK5dkq5SixrDtXZCwoXaZvz6AFDbJC_rxil-tKMP31Mwsuc2rMgm0yy8jOtdUX_55z45H6ieeMorI7WOL3uaY/s1600/Texte.jpg" imageanchor="1" style="margin-left: 1em; margin-right: 1em;"><img border="0" data-original-height="428" data-original-width="306" height="320" src="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEgJqruiA11B2e5nI_HKW5WgE3y64Kz3ltBFEG3H9esEmxL2suTUAmUY6cEK5dkq5SixrDtXZCwoXaZvz6AFDbJC_rxil-tKMP31Mwsuc2rMgm0yy8jOtdUX_55z45H6ieeMorI7WOL3uaY/s320/Texte.jpg" width="228" /></a></div>
</th>
</tr>
</tbody></table>
</center>
<br />
<h2>
Le livre</h2>
Pendant l’été 2016, à l’occasion d’un long voyage, Xavier Mussat a tenu un carnet de dessins accompagnant son périple.<br />
Ce carnet été perdu à la toute fin du circuit. Il a fallu essayer de recommencer, tenter de retrouver les impressions mentales que chaque lieu du voyage avait inspiré dans un recours à l’abstraction, puis accepter l’impossibilité de les reproduire et enfin en inventer d’autres, dans un nouveau carnet.<br />
<br />
C’est à partir de ces nouveaux dessins, de leur matière organique et aquatique que Charles Robinson a décidé d’écrire. Saisissant la question de la perte et de son rôle constituant, il livre, à travers une immersion dans les eaux troubles de l’absence et du manque, un manuel de survie à la disparition.<br />
Fruit de cet échange, le livre <i>Infinite loss</i> propose également un jeu de piste cartographique (cartes imprimées sur papier calque + fiche amovible).<br />
<br />
<span style="font-size: x-small;">Édition Apocope, 2018</span><br />
<span style="font-size: x-small;">88 pages. 105 x 170 mm</span><br />
<br />
<a href="https://label-apocope.wixsite.com/apocope/publications" target="_blank">Passer une commande sur le site de l'éditeur </a><br />
<br />
<h2>
Le live</h2>
Extrait de la lecture-performée du 13/09/2017 à La Marbrerie, Montreuil.<br />
<br />
<div class="separator" style="clear: both; text-align: center;">
<iframe allowfullscreen="" class="YOUTUBE-iframe-video" data-thumbnail-src="https://i.ytimg.com/vi/PNFxtROVc_k/0.jpg" frameborder="0" height="315" src="https://www.youtube.com/embed/PNFxtROVc_k?feature=player_embedded" width="560"></iframe></div>
<br />
Une lecture accidentelle à profusion rythmique autour de <i>Infinite loss</i>.<br />
<br />
Batteur et écrivain, Guillaume Ertaud et Charles Robinson proposent un duo inédit, associant voix musicale et polyrythmie fracasse, en explorant le terrible champ de la perte.<br />
<br />
<blockquote class="tr_bq">
Nous avons tous perdu. Nous avons même tous perdu beaucoup. La perte est notre cinquième membre, notre queue invisible qui bat le sol, constamment, dans notre dos, tout le long de la fuite.</blockquote>
Charles Robinsonhttp://www.blogger.com/profile/01309029492158401900noreply@blogger.comtag:blogger.com,1999:blog-6167977606997742987.post-26710705633159685932017-11-26T11:41:00.000+01:002017-11-26T11:46:10.652+01:00Infinite Lost - souscription en cours<div class="separator" style="clear: both; text-align: center;">
<a href="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEjKW9i74WlEptPVMPcnBVN0AtmJeRMw0xR-HIkP46x14KUY2chPKkCeeGWWvVePuluffOSrwzmgh5L6AsAfXbHL3LO1FtEY1EDagwmaCsIEwPGay6tPb7BjYyVrt9t4KxR4yiqnhc8Dfi8/s1600/Couverture.jpg" imageanchor="1" style="margin-left: 1em; margin-right: 1em;"><img border="0" data-original-height="473" data-original-width="329" height="400" src="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEjKW9i74WlEptPVMPcnBVN0AtmJeRMw0xR-HIkP46x14KUY2chPKkCeeGWWvVePuluffOSrwzmgh5L6AsAfXbHL3LO1FtEY1EDagwmaCsIEwPGay6tPb7BjYyVrt9t4KxR4yiqnhc8Dfi8/s400/Couverture.jpg" width="277" /></a></div>
<br />
Prochaine publication : <i>Infinite Lost</i>, fruit d'une collaboration inédite avec Xavier Mussat.<br />
<br />
<blockquote class="tr_bq">
Nous avons tous perdu.<br />
Nous avons même tous perdu beaucoup.<br />
La perte est notre cinquième membre,<br />
notre queue invisible qui bat le sol,<br />
constamment, dans notre dos,<br />
tout le long de la fuite.</blockquote>
Pendant l'été 2016, à l’occasion d’un voyage, Xavier Mussat a dessiné dans un carnet.<br />
Ce carnet été perdu à la fin du voyage. Il a fallu essayer de recommencer ces dessins, tenter de retrouver les impressions mentales que chaque lieu du voyage avait inspiré dans un recours à l'abstraction, puis accepter l'impossibilité de les reproduire et enfin en inventer d'autres, dans un nouveau carnet.<br />
<div class="separator" style="clear: both; text-align: center;">
<a href="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEiEJ3zjmzEAQMRHP_6JgtJQ-3CbLtl93_-xt0Y1Ccc5EYz6UgQgRGGdvYJL1GQdUhf_C34vSiG0AlGLGMF48u4YktJC2_bKUjK-LCkyggFRm6TZQz65D1JoeAH1rSWFXEXy9qIfHiEpEqk/s1600/Dessin.jpg" imageanchor="1" style="margin-left: 1em; margin-right: 1em;"><img border="0" data-original-height="416" data-original-width="292" height="400" src="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEiEJ3zjmzEAQMRHP_6JgtJQ-3CbLtl93_-xt0Y1Ccc5EYz6UgQgRGGdvYJL1GQdUhf_C34vSiG0AlGLGMF48u4YktJC2_bKUjK-LCkyggFRm6TZQz65D1JoeAH1rSWFXEXy9qIfHiEpEqk/s400/Dessin.jpg" width="280" /></a></div>
C'est à partir de ces nouveaux dessins, de leur matière organique et aquatique que Charles Robinson a décidé d'écrire. Saisissant la question de la perte et de son rôle constituant, il livre, à travers une immersion dans les eaux troubles de l’absence et du manque, un manuel de survie à la disparition.<br />
<div class="separator" style="clear: both; text-align: center;">
<a href="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEg1_MNH8XgjHjlYWOVFloUB1xqp3y5WShOBSAzZqQCJ1zgXKeWkIfcG2VTQS3Js0NEm60D8JlqOLDGLjEQlk3Zs1MmwoJTZDtQXjWV3xsybbR90QqKgYrZCNe0zClgYpJe_TsRgPPMewA4/s1600/Texte.jpg" imageanchor="1" style="margin-left: 1em; margin-right: 1em;"><img border="0" data-original-height="428" data-original-width="306" height="400" src="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEg1_MNH8XgjHjlYWOVFloUB1xqp3y5WShOBSAzZqQCJ1zgXKeWkIfcG2VTQS3Js0NEm60D8JlqOLDGLjEQlk3Zs1MmwoJTZDtQXjWV3xsybbR90QqKgYrZCNe0zClgYpJe_TsRgPPMewA4/s400/Texte.jpg" width="285" /></a></div>
Le livre INFINITE LOSS sera prochainement édité par Apocope.<br />
Afin de faire face aux coûts d'impression, nous lançons ici cet appel à souscription.<br />
Vous pouvez nous aider en versant le montant de votre choix.<br />
Le prix provisoire de vente pour ce livre est estimé à 15 € et sera susceptible d’évoluer sensiblement.<br />
Pour tout don équivalent ou supérieur à 20 €, vous recevrez un exemplaire du livre dès sa sortie.<br />
<br />
<div style="text-align: center;">
<span style="color: white;"><span style="background-color: orange;"><span style="color: red;"><span style="font-family: "courier new" , "courier" , monospace;"><span style="color: white;"><span style="font-size: large;"><a href="https://www.lepotcommun.fr/pot/qvyew432" target="_blank">JE FAIS UN DON EN CLIQUANT ICI</a></span></span></span></span></span></span> </div>
<div class="separator" style="clear: both; text-align: center;">
<a href="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEiGpT4PepNjMobQB-Xr07FI3lktizuXM3_70YwFxzKV73wWzTPuFRSjMzzwMyHwpcqbh5TUErQ3PQl-g4MCbZbCxRDYxOF8PY6pZDx2Z73yfPMeSnEg-lJjWEa5-pGjz6bipA8Ol4aX2pE/s1600/Carte.jpg" imageanchor="1" style="margin-left: 1em; margin-right: 1em;"><img border="0" data-original-height="416" data-original-width="268" height="400" src="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEiGpT4PepNjMobQB-Xr07FI3lktizuXM3_70YwFxzKV73wWzTPuFRSjMzzwMyHwpcqbh5TUErQ3PQl-g4MCbZbCxRDYxOF8PY6pZDx2Z73yfPMeSnEg-lJjWEa5-pGjz6bipA8Ol4aX2pE/s400/Carte.jpg" width="257" /></a></div>
<br />
<br />
<br />Charles Robinsonhttp://www.blogger.com/profile/01309029492158401900noreply@blogger.comtag:blogger.com,1999:blog-6167977606997742987.post-91102550276612161132017-11-25T11:06:00.000+01:002017-11-25T11:06:12.262+01:00Toulouse | live | 30 nov - 9 déc<div class="separator" style="clear: both; text-align: center;">
<a href="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEhEB2wefRntGm_QyKZZnOqjzYvfP9NWwnq4tdlUTfH1dzBX4ih4Zc2cyAPeng6wBp8P8UjGGMbXgKX3sYmIYNd9tONTtPXhyphenhyphenmDJHFmbqhM5gENTvA-2W77kr4UXGxTt2h3Gihcoy1OBv0g/s1600/Full.jpg" imageanchor="1" style="margin-left: 1em; margin-right: 1em;"><img border="0" data-original-height="300" data-original-width="1400" height="136" src="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEhEB2wefRntGm_QyKZZnOqjzYvfP9NWwnq4tdlUTfH1dzBX4ih4Zc2cyAPeng6wBp8P8UjGGMbXgKX3sYmIYNd9tONTtPXhyphenhyphenmDJHFmbqhM5gENTvA-2W77kr4UXGxTt2h3Gihcoy1OBv0g/s640/Full.jpg" width="640" /></a></div>
<br />
Part à l'assaut pour un marathon performatif dans le cadre du festival <i>FIMM</i>, organisé par le théâtre le Vent des Signes, à Toulouse.<br />
Chaque fois un texte différent et une association inédite.<br />
<br />
<b><span style="font-size: x-small;">30/11 + 01/12 |</span> <span style="color: red;">501</span></b><br />
avec Michel Cloup, guitare et voix<br />
<br />
<blockquote class="tr_bq">
Frère Bob. 33 ans. Chasse les démons avec ses mains. Gestes saccadés à hauteur des oreilles. Il a deux scorpions qui lui piquent les reins. Il passe un contrat avec les démons pour endormir les scorpions. Alors, les démons prennent l’ascendant sur lui et lui font faire n’importe quoi. Cela réveille les scorpions. Il crie après les démons. Il les insulte. Les démons sont fâchés. Ils le poursuivent jusque dans les fleurs, explique-t-il, et il n’a aucun refuge. Il n’entend pas le crissement. La voiture tape latéralement. Sa tête tape le pare-brise. « Je n’ai rien pu faire », dit l’automobiliste aux policiers. Et c’est vrai : il n’a rien pu faire.</blockquote>
<br />
<b><span style="font-size: x-small;">06/12 |</span> <span style="color: red;">Fabrication de la guerre civile</span></b><br />
avec Marta Izquierdo Muñoz, chorégraphie et danse<br />
<br />
<blockquote class="tr_bq">
Vivre, c’est devenir trop vieux pour te battre, perdre ceux que tu aimes, être humilié par des marmots à qui tu donnais la fessée. C’est se faire cracher dans la gueule par Bégum. Mais, vivre c’est la dernière chance que tu as de la retrouver. Marrant, hein ?<br />
Alors le vaudou t’offre de ne plus être un clown.</blockquote>
<b><span style="font-size: x-small;">08/12 |</span> <span style="color: red;">Génie du proxénétisme</span></b><br />
avec Jacky Mérit, composition électronique<br />
<br />
<blockquote class="tr_bq">
Il est certain que l’on rencontre un sur-phénomène de béance de la vulve au-delà de trente ans, souvent accompagné d’incontinence urinaire. Des rapports douloureux liés à une sécheresse des muqueuses vaginales ou à des lésions internes du conduit anal. La multiplication des lésions externes entraîne parfois une moindre résistance des lèvres ou du sphincter.<br />
Je travaille à mettre en place un programme favorisant la tonicité musculaire du plancher périnéal sous la forme d’un protocole de rééducation continu.</blockquote>
<br />
<a href="https://www.leventdessignes.fr/" target="_blank">Détails et modalités pratiques sur le site du théâtre le Vent des Signes, Toulouse</a>.Charles Robinsonhttp://www.blogger.com/profile/01309029492158401900noreply@blogger.comtag:blogger.com,1999:blog-6167977606997742987.post-27150180008984766582017-11-02T17:29:00.001+01:002017-11-02T17:29:16.531+01:00The Spleen - novembre<div class="separator" style="clear: both; text-align: center;">
<a href="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEjDUsPDtd6tzsDQ6aJZW7PtnV-ZNF0Q38P-TZxbZ7Y95gnSE0xOyhQRytaKehhDdwwlZq5djkVyRtxJCSXSQIJhubVOJwUanCV5JJKhCrwuQ-I4AHNtqz9X08foWZLENCZQ9HmpGuxl2gM/s1600/11082017-_MG_3586-light.jpg" imageanchor="1" style="margin-left: 1em; margin-right: 1em;"><img border="0" data-original-height="878" data-original-width="1317" height="266" src="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEjDUsPDtd6tzsDQ6aJZW7PtnV-ZNF0Q38P-TZxbZ7Y95gnSE0xOyhQRytaKehhDdwwlZq5djkVyRtxJCSXSQIJhubVOJwUanCV5JJKhCrwuQ-I4AHNtqz9X08foWZLENCZQ9HmpGuxl2gM/s400/11082017-_MG_3586-light.jpg" width="400" /> </a></div>
<div class="separator" style="clear: both; text-align: right;">
<span style="font-size: x-small;"><i>Cop. Violette Pouzet-Roussel</i></span></div>
<br />
<blockquote class="tr_bq">
<div class="western">
Au cours du voyage, nous apprenons qu’en
Indonésie, un cerf-volant est utilisé pour la pêche. Il est lancé
au-dessus des plans d’eau, le fil enduit de débris de verre, pour
accrocher la longue bouche crantée des orphies. Toujours en
Indonésie, les combats de cerfs-volants, sur lesquels sont organisés
des paris, ont permis l’apparition d’un nouveau métier : le
ramasseur de cerf-volant, qui part à la recherche des cerfs-volants
dont le fil est coupé – celui du perdant – et que les
ramasseurs lui rapportent contre une roupie.</div>
</blockquote>
<b>The Spleen</b> reprend la route.<br />
une pièce en huit séquences, avec Frank Micheletti <br />
<br />
<b># Vienne, Autriche - 4 novembre 2017</b>, 16h30<br />
Institut français : médiathèque<br />
Praterstrasse 38, 1020 Wien <br />
<br />
<b># Budapest, Hongrie - 7 novembre 2017</b>, 19 heures<br />
Institut français : médiathèque<br />
1011 Budapest Fo u. 17<br />
<br />
et <a href="http://spleenologie.blogspot.fr/" target="_blank">le blog dédié à la spleenologie</a>Charles Robinsonhttp://www.blogger.com/profile/01309029492158401900noreply@blogger.comtag:blogger.com,1999:blog-6167977606997742987.post-80283770519694179282017-09-08T10:27:00.000+02:002017-09-08T10:27:00.904+02:00infinite lost / pertes infiniesUne soirée organisée par le label <a href="https://label-apocope.wixsite.com/apocope" target="_blank">Apocope</a>, à La Marbrerie, à Montreuil.<br />
Le mercredi 13 septembre, à partir de 20 heures.<br />
21 rue Alexis Lepere - 93100 Montreuil - M° Mairie de Montreuil (ligne 9)<br />
<br />
<div class="separator" style="clear: both; text-align: center;">
<a href="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEhZGD-3WmA84SSTb-DNpaijxPGHyQEbX0wgAq7uV0TtrHfsHHKhEPrT_xwjhitoizm2PWLgMaOGh1bLsgftajxmO-eorkyt79iUE4rhhBQcTAkotG8PkYAxTDAM9NmrC9LtQmqDb5ZFWgs/s1600/Soir%25C3%25A9e+DUOS.jpg" imageanchor="1" style="margin-left: 1em; margin-right: 1em;"><img border="0" data-original-height="1600" data-original-width="1132" height="400" src="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEhZGD-3WmA84SSTb-DNpaijxPGHyQEbX0wgAq7uV0TtrHfsHHKhEPrT_xwjhitoizm2PWLgMaOGh1bLsgftajxmO-eorkyt79iUE4rhhBQcTAkotG8PkYAxTDAM9NmrC9LtQmqDb5ZFWgs/s400/Soir%25C3%25A9e+DUOS.jpg" width="282" /></a></div>
<br />
<br />
Trois duos inédits :<br />
<br />
<span class="_4n-j _3cht fsl" data-testid="event-permalink-details"><span class="text_exposed_show">### L</span></span><span class="_4n-j _3cht fsl" data-testid="event-permalink-details"><span class="text_exposed_show"><span class="_4n-j _3cht fsl" data-testid="event-permalink-details"><span class="text_exposed_show">ecture
accidentelle à profusion rythmique autour de <i>Infinite lost / pertes infinies</i> de Charles
Robinson, à paraître chez APOCOPE avec les dessins de Xavier Mussat.<br /> Batteur et
écrivain, Guillaume Ertaud et Charles Robinson proposent un duo inédit,
associant voix musicale et polyrythmie fracasse, en explorant le
terrible champ de la perte. Nous avons tous perdu. Nous avons même tous
perdu beaucoup. La perte est notre cinquième membre, notre queue
invisible qui bat le sol, constamment, dans notre dos, tout le long de
la fuite.</span></span></span></span><br />
<br />
<span class="_4n-j _3cht fsl" data-testid="event-permalink-details"><span class="text_exposed_show"><span class="_4n-j _3cht fsl" data-testid="event-permalink-details"><span class="text_exposed_show">## </span></span>Une
pianiste debout, penchée sur le corps béant de son piano ouvert, ça
n’est pas une autopsie. Le piano est bien vivant. Le piano est un
immense organe qui se pince, se martelle de l’intérieur, se triture et
se frotte. Jouer du piano serait en fait « jouer de son entièreté ». <br />
Un guitariste assis, guitare préparée, à plat sur les genoux comme une
planche à dessin. Il y aurait là aussi une envie de malmener, d’envoyer
de la matière remplir les quatre coins. De dérouler un fil inconstant,
fragile et cassant. </span></span><br />
<span class="_4n-j _3cht fsl" data-testid="event-permalink-details"><span class="text_exposed_show"><br /> Sophie Agnel : <a data-lynx-mode="async" href="https://l.facebook.com/l.php?u=https%3A%2F%2Fwww.sophieagnel.com%2F&h=ATNeV_phYYqA9duh6ZD4on5shgRo-TKvjC-UX-60nP77R4pimNPfrsWiH4jGs7OwT7GWi2LHx7Ymu9v3BuFZFD9nMTqvBTH8dsx9tzrMKcHX4wLB43nBRxrL_t6Hp_Hc-k7Syh7OkECHcwZlQ5nVVmOB9eFY4jiCxbfr7PI" rel="nofollow" target="_blank"><span>https://</span><wbr></wbr><span class="word_break"></span>www.sophieagnel.com/</a><br /> Xavier Mussat : <a data-lynx-mode="async" href="https://l.facebook.com/l.php?u=https%3A%2F%2Fxmussat.bandcamp.com%2F&h=ATP5wWooaZnifuN9F9DIA_JOWNxxqsfbeZoWkVEyvgfrwnod5rYZ5k2COAL7kgqDmsRx8Wa0cHkll6zbLLiKGxH0exubGlRyk9Gw_FUyEpuPJeAgiNJ-k0ft-_cqRfExjIBLz0rtGRMS7CK_ybSy_9Kf7X8U25dTS0bbV_A" rel="nofollow" target="_blank"><span>https://</span><wbr></wbr><span class="word_break"></span>xmussat.bandcamp.com/</a></span></span><br />
<br />
<span class="_4n-j _3cht fsl" data-testid="event-permalink-details"><span class="text_exposed_show"># Paul-André Landes reprend son livre <i>Les Reîtres : lecture à voix haute de versets déversés</i>. <br />
Il y avait une évidence dans le choix de l’accompagnement sonore de ce
duo : inventeur d’un registre musical organique, minéral et subtil,
Benjamin Pagier joue sur les fréquences d’un sfumato fourmillant de
détails. <br /> Un
chant martial mais atonal. La peau de l’ours portée pour habiter
l’animal inanimé.</span></span><br />
<span class="_4n-j _3cht fsl" data-testid="event-permalink-details"><span class="text_exposed_show"><br /> Benjamin Pagier : <a data-lynx-mode="async" href="https://l.facebook.com/l.php?u=https%3A%2F%2Fsoundcloud.com%2Fex_pi&h=ATP_1Ek228vgw-0uhMX9luKafJiuVAMKH-hkyyqEZgY9T7MdagAFMpT2XjClbYcyHuiJKahMc5Ymiflx0YnSbC91BGQi2UD9lDO7nzsBl_xMcf0sa2IpuqWykp0cnf4yD8AbLQYVWXWjgTyAVUu5ITyHi4Od8f1XN5kxMPI" rel="nofollow" target="_blank"><span>https://soundcloud.com/</span><wbr></wbr><span class="word_break"></span>ex_pi</a><br /> Paul-André Landes : <a data-lynx-mode="async" href="https://l.facebook.com/l.php?u=http%3A%2F%2Fwww.cipmarseille.com%2Fauteur_fiche.php%3Fid%3D2141&h=ATMXf5k6-PwYMhQt0E2FwGa2o3HhMyWwjzbiYwWWpO7YFKpjQcjEXrP-XSAEuZlIxL8ff-E-r6admXsl_101ooQhy7Cuo0IfV2VWt2RoUTvcpKX8qgBCg03wucbjqPqGtAgto9T8yykRL_JAet3CMKrgkQ2s8hh2qXBSj_I" rel="nofollow" target="_blank"><span>http://</span><wbr></wbr><span class="word_break"></span><span>www.cipmarseille.com/</span><wbr></wbr><span class="word_break"></span>auteur_fiche.php?id=2141</a></span></span>Charles Robinsonhttp://www.blogger.com/profile/01309029492158401900noreply@blogger.comtag:blogger.com,1999:blog-6167977606997742987.post-81735178821010829662017-09-08T10:13:00.000+02:002017-09-08T10:13:07.198+02:00Les Vendanges de Malagar, 9 septembre<a href="http://malagar.fr/?Les-vendanges-de-Malagar" target="_blank">Les vendanges de Malagar</a> se consacrent cette année à la question des <b>Murs, Limites et Frontières</b>.<br />
<br />
Le programme est riche, injectant histoire, cinéma, géographie, sciences politiques... et donc littérature.<br />
<br />
Je proposerai un texte inédit : <i>Un innocent</i>, avant de débattre avec la cheffe d'orchestre Zahia Ziouani.<br />
<br />
<div class="separator" style="clear: both; text-align: center;">
<iframe allowfullscreen="" class="YOUTUBE-iframe-video" data-thumbnail-src="https://i.ytimg.com/vi/fgJRjy2Xc0c/0.jpg" frameborder="0" height="315" src="https://www.youtube.com/embed/fgJRjy2Xc0c?feature=player_embedded" width="560"></iframe></div>
<br />
Lecture & débat : samedi 9 septembre, à partir de 11h15<br />
<br />
<a href="http://malagar.fr/IMG/pdf/Malagar_Invit_Vendanges_2017.pdf" target="_blank">Le programme complet</a> Charles Robinsonhttp://www.blogger.com/profile/01309029492158401900noreply@blogger.comtag:blogger.com,1999:blog-6167977606997742987.post-61128650135248443052017-07-20T08:44:00.000+02:002017-07-20T08:44:50.900+02:00Sauve qui peut (la révolution) -- Thierry Froger<div class="separator" style="clear: both; text-align: center;">
<a href="https://www.actualitte.com/images/facebook/sauve-qui-peut-57c6930e49550.jpg" imageanchor="1" style="margin-left: 1em; margin-right: 1em;"><img border="0" data-original-height="800" data-original-width="484" height="320" src="https://www.actualitte.com/images/facebook/sauve-qui-peut-57c6930e49550.jpg" width="193" /></a></div>
<br />
<blockquote class="tr_bq">
Sur les tournages, personne ne m’invite pour dîner. J’ai l’impression
que les conversations que j’ai envie d’avoir n’intéressent personne. La
plupart des gens ne veulent plus discuter de leurs projets ni de leurs
idées. Moi, j’en ai besoin mais j’ai du mal à trouver quelqu’un pour ça.
Et à force d’être seul, je comprends de moins en moins les autres et
j’ai de moins en moins de choses à leur dire. C’est plutôt triste. Je
crois que la solitude, c’est de ne jamais trouver les autres quand on en
a besoin.</blockquote>
<i>Jean-Luc Godard reçoit du ministère de la Culture, via Jack Lang, la proposition de concevoir un film pour le bicentenaire de la Révolution. Danton n’est pas guillotiné, mais déporté sur une île de la Loire. JLG, pour écrire son film, recontacte un vieil ami historien, et engage une histoire avec la toute jeune fille de celui-ci. Danton est amoureux d’une toute jeune fille. En rencontre une autre. Engage une relation avec elle. Le scénario du film sur la révolution mute vers 93. Mute. Et mute encore, dans un mouvement de canotage. JLG et la jeune fille s’aiment. Danton est déporté sur l’île d’Elbe. Il y rencontre une jeune fille, dont il est amoureux, et qu’il épouse. Napoléon est déporté sur l’île d’Elbe.</i><br />
<br />
On voit bien ici l’effet de réel produit par la récurrence des motifs, qui à la fois fournissent une poétique particulière au roman, et qui fournissent une mécanique de réel, dont la répétition donne un sentiment de lois, de cohérence.<br />
<br />
Froger pirate le réel par la fiction. Accrochant des figures de légende (et de ce point de vue, JLG ne vaut pas moins que Danton, comme Jack Lang ne vaut pas moins que Collot d’Herbois). Puis les pousse sur les sentiers du récit en empruntant simultanément vérité historique et fantaisie, sans marquer de passage de l’une à l’autre. Car ce qui compte, c’est l’histoire telle qu’elle s’énonce.<br />
Cela est d’autant plus fort que ce piratage s’opère avec un style de sage mélancolie, dont la précision subtile, à la fois affirmée et retenue, fait parfois penser à Sebald.<br />
<br />
Le récit est un sentier que trace la pensée dans, à travers, et à côté de l’Histoire. Le sentier revient toujours au tracé principal, et retrouve le chemin normal, mais il est passé par des écarts buissonniers, lesquels, pour fantaisistes qu’ils sont, n’en sont pas moins crédibles, très cohérents avec ce que l’on connaît du réel (ici, fortement ancré sur les caractères, les personnalités, les manières d’être). Puis ces sentiers se renouent en impromptu au réel, en parfaite harmonie : pour qui connaît un peu le secteur décrit – autour de Chalonnes –, c’est une jolie surprise de découvrir des figures parfois discrètes (le café Lenin, par exemple) subitement branchées aux fictions, irriguées par la fantaisie, presque expliquées, dans leur histoire bien réelle, par le légendaire du roman (mais on pourrait aussi bien le dire des apparitions impromptues, sortes de guest star, qui surgissent dans le livre : Antoine de Baecque, Isabelle Huppert ou Marguerite Duras).<br />
<br />
C’est aussi pourquoi le livre fait un fort usage du document. Tout le scénario en travail de JLG est traité sous forme de publications, en voie parallèle aux récits, avec un élégant travail d’interpénétration des calendriers (les aventures réelles-fictionnées de JLG, deviennent façons de fiction dans le scénario qui mute, se transforme, et, comme un corps astral, se déforme pour absorber les événements fictionnellement vécus).<br />
<br />
Le lien entre réel et fictions tient sans doute au thème de la mythologie : la révolution française, le cinéma, sont de puissants vecteurs de mythes à rêver.<br />
<br />
Attaché à transpercer les êtres qu’il saisit, le roman goûte leurs habiletés de parleur pour mettre en scène des univers mentaux, qui s’inscrivent dans le texte par des jeux de sentences, de discours, qui pourraient revenir fantômes d’entretiens ou des sources documentaires.<br />
<br />
Le tout est pris dans une prose élégante, géographiquement lyrique et souple, détaillée sans verbosité, avec un goût très sûr de la description.Charles Robinsonhttp://www.blogger.com/profile/01309029492158401900noreply@blogger.comtag:blogger.com,1999:blog-6167977606997742987.post-45299787491938676842017-06-19T10:56:00.000+02:002017-06-19T10:58:25.806+02:00Un oeil ce n'est pas un trou dans une feuille avec un rond<br />
<div class="separator" style="clear: both; text-align: center;">
<a href="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEgetLEbSKf3VNgtQILLMxAFEQ5mJna3yE28NHid6up8JEGUnBNktqGPU2xMKpnsnRDSxKk3imlNzNl7P3VWfhTf-JlXACaBIv8QFbn7LnjZ4cI0OTk5hmohtx2XDebPbw1BYHWHN3BOBlA/s1600/Statue+bleue.jpg" imageanchor="1" style="margin-left: 1em; margin-right: 1em;"><img border="0" data-original-height="1152" data-original-width="1152" height="640" src="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEgetLEbSKf3VNgtQILLMxAFEQ5mJna3yE28NHid6up8JEGUnBNktqGPU2xMKpnsnRDSxKk3imlNzNl7P3VWfhTf-JlXACaBIv8QFbn7LnjZ4cI0OTk5hmohtx2XDebPbw1BYHWHN3BOBlA/s640/Statue+bleue.jpg" width="640" /></a></div>
<br />
Chaque année, les Ateliers Beaux-Arts de la ville de Paris forment près de quatre mille étudiants à des techniques multiples : dessin, aquarelle, photographie, création graphique, bande dessinée, modelage, gravure, etc.<br />
Le cycle <i>Un œil ce n’est pas un trou dans une feuille avec un rond</i>, écrit en résidence, rend compte de la formidable énergie, des singularités, des inventions, des doutes, des trouvailles, des aventures, des compétences, des habiletés, des désirs à l’œuvre au cours de ces ateliers.<br />
Ce cycle se décline en une lecture publique, qui prend la forme d’un atelier éphémère en présence d'un modèle, avec lecture de textes à trois voix.<br />
<br />
Vous êtes conviés à participer au crépitement sensible de ces moments de création.<br />
<br />
Une discussion avec le public suivra la lecture.<br />
<br />
<b>Durée :</b> 30 minutes<br />
<b>Avec :</b> Violette Pouzet-Roussel, Patrick André <br />
<br />
<blockquote class="tr_bq">
Bottines de peau claire. Elle grimpe sur le fauteuil à roulettes à l’équilibre instable, qui tangue sous le poids inattendu, et dont elle contrôle la valse lente, par de menus ajustements qui partent du bassin.
<br />
Un corps de photographe, ça transforme un siège à roulettes en barque, et une salle de cours en lac.<br />
Mobilité surélevée, glissante.<br />
<br />
On se trompe quand on place l’attention sur les outils : sur la machinerie photographique. La photographie, ça débute par le corps de qui photographie.
<br />
La photographie de guerre, avec le corps aventurier du combattant qui ne tire pas. La photographie de paysage, avec son corps arpenteur, endurci à la durée et aux parcours. Et même le portrait, avec un corps intime qui met à l’aise, ou un corps de majesté qui cherche à susciter la pose chez le sujet.<br />
<br />
Même la question de la visée est une question de corps avant d’être une question d’œil. Les appareils photo numériques avec leur double système de visée proposent deux façons d’être corps. La concentration est très différente selon que l’on regarde l’écran ou un viseur.<br />
Choisir le viseur, c’est choisir un corps dans l’action. Impliqué dans la scène. C’est le plongeon. Tandis que regarder l’écran établit une position distante, à l’écart de la situation : observateur, à la limite presque du spectateur.<br />
On regarde dans le viseur, ou l’on regarde l’écran. Ce n’est pas du tout la même chose. Le second est une position de contrôle. On regarde ce qui se passe. On sélectionne. Tour de contrôle ?<br />
Il y a une facilité technique dans la visée écran, où le plan se compose grâce à un pagayé à vue, qui doit caler l’appareil dans le flux du réel, dans les sources d’images.</blockquote>
<br />
<b>rendez-vous aux Ateliers Beaux-Arts, durant les Portes ouvertes</b><br />
> vendredi 16, 16h00 : Marc Bloch<br />
> vendredi 16, 20h00 : Glacière<br />
> samedi 17, 15h00 : Baudelaire<br />
> samedi 17, 18h00 : Jean Quarré<br />
<br />
<b>rendez-vous dans les médiathèques de la ville de Paris</b><br />
> 14 juin - 17h30 : bibliothèque André Malraux - 112 Rue de Rennes, 75006 Paris<br />
> 25 juin, 15h30 : médiathèque Françoise Sagan - 8 Rue Léon Schwartzenberg, 75010 Paris<br />
> 30 juin, 18h00 : médiathèque Melville - 79 Rue nationale, 75013 Paris<br />
> 30 juin, 19h00 : médiathèque Melville - 79 Rue nationale, 75013 Paris<br />
> 1 juillet, 16h00 : médiathèque Canopée - Forum des Halles, 10 passage de la Canopée, 75001 ParisCharles Robinsonhttp://www.blogger.com/profile/01309029492158401900noreply@blogger.comtag:blogger.com,1999:blog-6167977606997742987.post-88639817682560183522017-03-26T14:47:00.000+02:002017-03-26T14:47:01.914+02:00Blast -- Philippe Malone<div class="separator" style="clear: both; text-align: center;">
<a href="http://www.theatre-contemporain.net/images/upload/thumbs/L255-H464/f-759-543b8ce77e0a3.jpg" imageanchor="1" style="margin-left: 1em; margin-right: 1em;"><img border="0" height="400" src="https://www.theatre-contemporain.net/images/upload/thumbs/L255-H464/f-759-543b8ce77e0a3.jpg" width="218" /></a></div>
<br />
<blockquote class="tr_bq">
Une forme de névrose, ça s’appelle une névrose suicidaire de fuite, une forme de névrose, qui d’ailleurs à la fin devrait être une psychose. C’est-à-dire que les psychiatres que nous avions consultés à l’époque m’ont tous dit qu’il aurait vraisemblablement fait des dépressions nerveuses dans sa vie, s’il avait eu une vie.</blockquote>
<br />
Le texte est écrit à partir d’un recueil de témoignages personnels sur des événements ravageurs ayant impactés une vie (le débarquement, le 11 septembre, la fermeture de Moulinex, etc.). Mais le texte évacue toutes les références à l’événement historique qui produit cet impact pour orchestrer des voix stratifiées énonçant les bourrelets cicatriciels, les marques et les traces : comment l’impact reste et vibre en bourdon dans la voix.<br />
Le texte est économe, peu prolixe et, sur un sujet qui prête au spectaculaire, au détail violent et scabreux, donc aux effets de crêtes, le texte choisit au contraire un état vibratoire continu : la transposition de l’impact en infra-basse.<br />
Écarter l’anecdote pour sculpter des infra-basses dans le document.<br />
L’onde de choc, prise dans un effet freeze : le gel intérieur de la déflagration.<br />
<br />
Pas de personnages, de points d’énonciation : les voix sont mélangées, ce qui amène une fragmentation compacte : les éclats sont agrégés, en un bloc bourdonnant, sourd, insistant, profond et puissant.<br />
C’est une poussée textuelle qui s’instaure lorsque le texte commence : une mêlée de rugby (jeunes, vieillards, hommes, femmes, tous noués), un pack, où les voix poussent et projettent, de toute la force accumulée de l’événement, sans lever la tête, sans cri, avec quelque chose qui parle pour la rage de la vie blessée, pour la force de la vie survivante.<br />
<br />
Pour le plateau, <i>Blast</i> opère une proposition où la catastrophe est une immense déferlante, hors de scène (elle est dans nos mémoires, puisque ces événements sont historiques), tandis que les voix sont des ombres projetées, des indices de présence, une inquiétude dansante.<br />
Le plateau est une grotte, la catastrophe s’y reflète.Charles Robinsonhttp://www.blogger.com/profile/01309029492158401900noreply@blogger.comtag:blogger.com,1999:blog-6167977606997742987.post-42203000595646618832017-03-08T11:40:00.000+01:002017-03-08T11:40:24.680+01:00The Spleen -- Concordanse 2017<div class="separator" style="clear: both; text-align: center;">
<a href="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEiTNQvOuHcMxYbtl9prCJ7ZUCaNXteUqtgmBBwsS3LJN17WzFBGsNYZabkNJ4kc_nqPfksO0ZOfILmDMrBDW09H64dPwPGxRjMa3TP40OTWG3gJ4b4SIz-lXBhbYNl9BysFR3a7-dc2tc8/s1600/Entraille+de+mer.JPG" imageanchor="1" style="margin-left: 1em; margin-right: 1em;"><img border="0" height="360" src="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEiTNQvOuHcMxYbtl9prCJ7ZUCaNXteUqtgmBBwsS3LJN17WzFBGsNYZabkNJ4kc_nqPfksO0ZOfILmDMrBDW09H64dPwPGxRjMa3TP40OTWG3gJ4b4SIz-lXBhbYNl9BysFR3a7-dc2tc8/s640/Entraille+de+mer.JPG" width="640" /></a></div>
<br />
Nous ne sommes pas tranquilles avec les malheurs du monde.<br />
Nos corps incorporent des toxiques.<br />
Ils grouillent, râlent, protestent et craquent.<br />
Nos symptômes chantent avec les humiliés.<br />
<br />
Nous avons pourtant l’intuition d’autres possibles, où jouent les écosystèmes, les entrailles, les liens souples, les formes de vie, les escapades et les raccourcis.<br />
<br />
Alors, imaginons une science : la spleenologie, qui devrait autant à l’étude des ruses primitives qu’à la lecture de très anciens traités chinois.<br />
Une science qui serait à la fois une méthode archéologique, un art martial, une hypothèse thérapeutique.<br />
<br />
En usant des arts spleenétiques, nous ploieront et déplieront des voix, des corps, des aventures proches ou lointaines, des récits parallèles et méconnus, pour exsuder le Spleen qui empoisonne nos existences.<br />
<br />
<center>
<br /><b>THE SPLEEN</b><br /><br /><span style="color: #666666;"><span style="background-color: white;">pourquoi lire des poèmes<br />échos de la carcasse profonde<br />il n’y a pas d’eldorado<br />j’ai aimé le chacal<br />partager son sommeil avec son ennemi <br />blood filter soul <br />traité des huit nostalgies<br />se laver la chenille</span></span><br />
<br />
<br />
conception | texte | musique | danse<br />
Frank Micheletti | Charles Robinson</center>
<br />
festival <a href="http://www.concordanse.com/" target="_blank">Concordanse 2017</a><br />
<br />
<br />
<b>prochaines dates : </b><br />
<br />
# Vendredi 10 mars 19h30<br />Bibliothèque Pierre et Marie Curie - Nanterre 92<br /><br /># Mercredi 15 mars 20h<br />Maison de la poésie - Paris 75<br /><br /># Vendredi 17 mars 19h<br />Médiathèque Boris Vian - Tremblay-en-France 93<br /><br /># Samedi 18 mars 17h<br />Bibliothèque - Bagnolet 93<br /><br /># Dimanche 19 mars 16h<br />Parc Culturel Michel Chartier -Rentilly 77<br /><br /># Lundi 27 mars 12h<br />Université Paris 13 - 93<br /><br /># Mardi 28 mars 19h<br />Bibliothèque Cyrano de Bergerac - Clichy-sous-bois 93<br /><br /># Jeudi 30 mars 19h30<br />La Briqueterie - CDC - Vitry-sur-Seine 94<br /><br /><a href="http://www.concordanse.com/Frank-Micheletti-choregraphe-Charles-Robinson-ecrivain" target="_blank">toutes les infos pratiques sur le site de Concordanse</a><br />
<br />Charles Robinsonhttp://www.blogger.com/profile/01309029492158401900noreply@blogger.comtag:blogger.com,1999:blog-6167977606997742987.post-79218842748660663482017-03-05T16:05:00.000+01:002017-03-05T16:05:14.729+01:00Delta Charlie Delta -- Michel Simonot<div class="separator" style="clear: both; text-align: center;">
<a href="https://pmcdn.priceminister.com/photo/delta-charlie-delta-de-michel-simonot-1066587848_L.jpg" imageanchor="1" style="margin-left: 1em; margin-right: 1em;"><img border="0" height="320" src="https://pmcdn.priceminister.com/photo/delta-charlie-delta-de-michel-simonot-1066587848_L.jpg" width="320" /></a></div>
<br />
<blockquote class="tr_bq">
2005. Clichy-sous-Bois. Une course-poursuite devenue tristement exemplaire. Zyed et Bouna : décédés. Muhittin : gravement brûlé. Des quartiers s’embrasent tour à tour. Des appels au calme. Des condamnations. Et le retour de l’état d’urgence, une première en métropole depuis 1962.</blockquote>
Oratorio profane, <i>Delta Charlie Delta</i> est une opération de mise au net des faits, des situations et des discours. Face au bruit du monde, face au brouillage, à la pollution des avis et opinions (confère ce moment choral dédié aux multiples prises de partie sur Internet), le texte énonce les lignes claires. Ce n’est pas la rage qui ressort, mais la sereine évidence. Si les tempêtes médiatiques engloutissent, le texte peut ramener là, rendre les présences, y compris celle du troisième garçon, que sa non-mort a paradoxalement fait disparaître.<br />Le texte rend aux faits leur vérité d’événement, à la confluence du moment historique (la politique sécuritaire du gouvernement, ses déclarations ; la politique des banlieues), des actions individuelles tragiques (le trou noir où les garçons sont happés se construit à plusieurs), des miroirs et des significations, forgeant ainsi la possibilité d’excéder l’instant pour entrer dans les mythologies : le lieu des vérités exemplaires.<br /><br />La littérature, ici, n’engage pas la critique, les hypothèses, la justesse ; elle se fait concise à dire le vrai, à faire œuvre de vérité. Elle propose l’événement du texte face au marécage des opinions, des déclarations contradictoires, des postures. Elle ne le fait d’ailleurs pas avec les moyens de l’enquête ou du rapport, mais en lestant chaque acteur, chaque action, chaque moment, de sa pesée d’humain, de ses lignes d’actions & conséquences, donc en construisant quelque chose de singulier, qu’il faudrait peut-être nommer une « vérité éthique ».<br />
<br />De facto, le texte accuse cette particularité contemporaine, pas toujours perçue : la vaste fosse dans le débat public que laisse l’absence du vrai, et le fait que nous nous en soyons collectivement accommodés. Toute vérité est relative, ricane l’esprit fort, chez qui le sens critique a dégénéré en réflexe pavlovien du doute ; nous nous sommes peut-être amputés de ce goût et de cette faculté-là.Charles Robinsonhttp://www.blogger.com/profile/01309029492158401900noreply@blogger.comtag:blogger.com,1999:blog-6167977606997742987.post-88648887583008960182017-02-12T11:48:00.000+01:002017-02-12T11:48:35.775+01:00Disneyland après la Bombe | lecture | Paris<i>L’enfer est encore en travaux. Mais un jour, ici, il y aura le meilleur parc d’attractions du monde !</i> <br />
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<div class="separator" style="clear: both; text-align: center;">
<a href="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEghyCCX4bAzLjgvPRf4N4BZkABr8S0uUSBsa4VPXEx2qUGN5wq1TNHl0D-NoVy7AyW0rECwpRd1xDCBpxu6ZSjgcrf-pb4WdQZ9KaOm06OOfoI8aFSGCuW5XaEA8tnO-t8GlPvseBpO5Pg/s1600/Full+band+2016+-+light.jpg" imageanchor="1" style="margin-left: 1em; margin-right: 1em;"><img border="0" height="266" src="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEghyCCX4bAzLjgvPRf4N4BZkABr8S0uUSBsa4VPXEx2qUGN5wq1TNHl0D-NoVy7AyW0rECwpRd1xDCBpxu6ZSjgcrf-pb4WdQZ9KaOm06OOfoI8aFSGCuW5XaEA8tnO-t8GlPvseBpO5Pg/s400/Full+band+2016+-+light.jpg" width="400" /></a></div>
<br />
Ville nouvelle, banlieue parisienne. Cité des Pigeonniers. Un grand BANG est programmé.
322 appartements promis à une démolition prochaine.<br />
Pour les habitants, la rénovation, c’est autant d’histoires de familles, d’amitiés, d’amour, de destins tragiques, tendres, cocasses, cruels.<br />
<br />
Popie, Angela, Big Big, GTA, Darling, Bambi, Budda, Kali Cola sont les héros d’une mythologie contemporaine : des causeurs et des oracles, des taiseux et des grandes gueules, des êtres brûlés ou en feu ; les voix et les accents d’une aventure contemporaine : la nôtre.<br />
<i><br /></i>
<i>Fabrication de la guerre civile</i> ou <i>Disneyland après la Bombe</i> prolonge
l'univers du roman avec un texte inédit, l'interprétation d'une
vingtaine de personnages à deux voix et une création sonore par le trio <a href="https://lenacircus.bandcamp.com/" target="_blank">Lena Circus</a>.<br />
<br />
Soit une heure d'immersion sonore dans la Cité des Pigeonniers.<br />
<br />
<b>>> Retour sur scène dans le cadre du cycle <a href="https://www.centrepompidou.fr/cpv/ressource.action?param.id=FR_R-afb7b997ffd0965b26aabc3d99ff1347&param.idSource=FR_E-afb7b997ffd0965b26aabc3d99ff1347" target="_blank">Littérature en scène</a> au centre Georges Pompidou.</b><br />
<br />
TEXTE : Charles Robinson<br />VOIX : Violette Pouzet-Roussel, Charles Robinson<br />CRÉATION SONORE : Lena Circus<br />INGÉNIEUR SON : Julien Jacquin<br /><br /><b>lieu :</b> Centre Georges Pompidou<br />Place Georges-Pompidou, 75004 Paris<br /><br />- Petite Salle<br /><br /><b>date :</b> lundi 27 février 2017<br />à 20 heuresCharles Robinsonhttp://www.blogger.com/profile/01309029492158401900noreply@blogger.comtag:blogger.com,1999:blog-6167977606997742987.post-62945633183301832182017-02-12T11:43:00.002+01:002017-02-12T11:43:43.771+01:00Disneyland après la Bombe - lecture - Poitiers<i>L’enfer est encore en travaux. Mais un jour, ici, il y aura le meilleur parc d’attractions du monde !</i> <br />
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<div class="separator" style="clear: both; text-align: center;">
<a href="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEghyCCX4bAzLjgvPRf4N4BZkABr8S0uUSBsa4VPXEx2qUGN5wq1TNHl0D-NoVy7AyW0rECwpRd1xDCBpxu6ZSjgcrf-pb4WdQZ9KaOm06OOfoI8aFSGCuW5XaEA8tnO-t8GlPvseBpO5Pg/s1600/Full+band+2016+-+light.jpg" imageanchor="1" style="margin-left: 1em; margin-right: 1em;"><img border="0" height="266" src="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEghyCCX4bAzLjgvPRf4N4BZkABr8S0uUSBsa4VPXEx2qUGN5wq1TNHl0D-NoVy7AyW0rECwpRd1xDCBpxu6ZSjgcrf-pb4WdQZ9KaOm06OOfoI8aFSGCuW5XaEA8tnO-t8GlPvseBpO5Pg/s400/Full+band+2016+-+light.jpg" width="400" /></a></div>
<br />
Ville nouvelle, banlieue parisienne. Cité des Pigeonniers. Un grand BANG est programmé.
322 appartements promis à une démolition prochaine.<br />
Pour les habitants, la rénovation, c’est autant d’histoires de familles, d’amitiés, d’amour, de destins tragiques, tendres, cocasses, cruels.<br />
<br />
Popie, Angela, Big Big, GTA, Darling, Bambi, Budda, Kali Cola sont les héros d’une mythologie contemporaine : des causeurs et des oracles, des taiseux et des grandes gueules, des êtres brûlés ou en feu ; les voix et les accents d’une aventure contemporaine : la nôtre.<br />
<i><br /></i>
<i>Fabrication de la guerre civile</i> ou <i>Disneyland après la Bombe</i> prolonge
l'univers du roman avec un texte inédit, l'interprétation d'une
vingtaine de personnages à deux voix et une création sonore par le trio Lena Circus.<br />
<br />
Soit une heure d'immersion sonore dans la Cité des Pigeonniers.<br />
<br />
<b>>> Retour sur scène dans le cadre du festival <a href="http://filmerletravail.org/edition-2017/" target="_blank">Filmer le travail</a> (8e édition).</b><br />
<br />
TEXTE : Charles Robinson<br />
VOIX : Violette Pouzet-Roussel, Charles Robinson<br />
CRÉATION SONORE : Lena Circus<br />
<br />
<b>lieu :</b> Espace Mendès France<br />
1 Rue de la Cathédrale, 86038 Poitiers<br />
<br />
<b>date :</b> mardi 14 février 2017<br />
à 19 heures<br />
lecture suivie d'une rencontreCharles Robinsonhttp://www.blogger.com/profile/01309029492158401900noreply@blogger.com